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Top / Flop Cinéma 2019

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Top / Flop Cinéma 2019 Empty Top / Flop Cinéma 2019 Ven 20 Déc - 16:03

Phil


Admin

J'ai vu les derniers films "importants" qu'il me restaient à voir; je doute que Star Wars soit dans les tops ou les flops; faut que je revoie un film en BR ce soir pour confirmer sa place...
... mais à part ça, c'est prêt ! Laughing

Enfin, les listes sont faites, les classements établis, et il me reste "juste" à écrire les textes.
Donc, c'est pas pour tout de suite, quand même.

https://thexphil.forumactif.org

2Top / Flop Cinéma 2019 Empty Re: Top / Flop Cinéma 2019 Mar 24 Déc - 15:08

Phil


Admin

Et voilà !

Laughing

https://thexphil.forumactif.org

3Top / Flop Cinéma 2019 Empty Re: Top / Flop Cinéma 2019 Mar 24 Déc - 15:08

Phil


Admin

2019 aura été une année cinéma très intéressante, offrant quelques œuvres de qualité, de bons gros mauvais films comme on les « aime », et surtout des débats/discussions/événements enflammés (le poids de Netflix, l’arrivée de la concurrence Disney +, la guerre « vieux cinéastes versus Marvel », les suites de #metoo, les avancées technologiques de types 120/images seconde, etc) qui vont se prolonger encore dans les temps à venir.  
Une année qui aboutit, en ce qui me concerne, à un classement annuel qui aura sonné comme une évidence au moment de l’établir en cette fin décembre.
Les 10 films du top se sont dégagés assez facilement du lot ; les trois premiers, et leur ordre, encore plus facilement. Ensuite, ça a été un peu plus compliqué de classer les autres, mais on n’est plus à ce niveau de détail quand on est dans la top-liste.
Le podium, donc, est tout sauf original : pour une fois, j’aurai suivi la tendance générale de l’année – je voyais aujourd’hui même que c’est exactement le palmarès de l’année de Première par exemple (la teuhon !). Mais bon, quand on voit les films en question, difficile de passer à côté…

1 - PARASITE – Bong Joon Ho (Corée du Sud)
Top / Flop Cinéma 2019 L_affiche-parasite-cannes

Souvent, quand un réalisateur apprécié atteint un niveau de consécration inédit dans sa carrière, ce n’est pas au meilleur moment (remember le meilleur exemple du monde : Scoresese avec [/i]Les Infiltrés[/i]). C’est d’autant plus réjouissant de voir le coréen triompher à Cannes, au box-office, et bientôt probablement aux Oscars avec un des sommets de sa carrière phénoménale. Concentré total de son style et ses obsessions, c’est du Bong pur jus – prenant, drôle, intelligent, stimulant, visuellement sublime. Un futur classique.


2 - ONCE UPON A TIME… IN HOLLYWOOD – Quentin Tarantino (USA)

Top / Flop Cinéma 2019 L_once-upon-a-time-affiche

Fidèle à son habitude, Tarantino développe sa vision du cinéma comme réinterprétation du monde, corrigeant les erreurs (supposées) de l’histoire et inventant un monde fantasmagorique idéal sur les ruines d’une nostalgie tout sauf passéiste. Cette éternelle croyance dans le pouvoir du cinéma sur le réel est d’autant plus bouleversante qu’elle s’accompagne de créations visuelles et scénaristiques troublantes. Pas le plus plaisant des films de Quentin au premier abord, mais un de ceux qui imprègnent le plus après visionnage.


3 - MIDSOMMAR – Ari Aster (USA/Suède)        

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On attendait Ari Aster au tournant après le coup d’essai tonitruant de Hérédité, et le réalisateur n’a pas déçu. Son second film est peut-être encore plus fort que le premier, et Aster s’affirme comme un digne héritier du cinéma de Kubrick. D’une ambition folle, d’une durée hors-norme (et encore plus dans sa version Director’s cut en BR), d’une maîtrise totale, le film s’impose comme un nouveau mètre-étalon du courant « elevated horror ». Qui peut toujours gaver si on cherche à l’opposer à l’horreur plus simple tout aussi recommandable (quand c’est aussi bien fait) ; il suffit alors de considérer que les deux peuvent parfaitement coexister dans le cœur des amateurs de cinéma de genre.


4 - DRAGONS 3 – Dean DeBlois (USA)

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Chez Dreamworks, comme chez les concurrents Pixar, Disney et autres, il y a du pas-bien, du bon, du très bon… et le dessus du panier - constitué essentiellement des Cinq Légendes et de la saga Dragons. Sans atteindre les sommets du deuxième film (notamment émotionnels – quoique, là c’est mon plus jeune fils qui a pleuré à la fin, remplaçant sa sœur qui avait pleuré au précédent), ce troisième opus se révèle encore une fois un grand film d’aventures épique, techniquement au top du top. Ce qu’on a vu de mieux en matière de Fantasy en 2019.


5 - SORRY WE MISSED YOU – Ken Loach (Royaume Uni)    

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Le dernier film en date de Ken Loach est peut-être moins percutant que le précédent (encore que ça reste à vérifier)… Mais la colère toujours intacte de l’anglais l’amène à livrer une fois de plus un réquisitoire impitoyable contre la marche du monde. Un monde qui va de plus en plus mal – en tête des maux dénoncés ici, l’ubérisation folle qui détruit des vies et des sociétés entières. On ressort du film dans un état de rage difficilement descriptible, avec l’envie de tout péter. Ce qui était sûrement l’intention recherchée ; et on peut donc dire que le film parvient totalement à atteindre son but.


6 - US – Jordan Peele (USA)

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Avec Ari Aster (et aussi Robert Eggert, en fin d’année), Jordan Peele était l’autre réalisateur de cinéma d’horreur américain dont on attendait le second film avec impatience. Mais lui peut sembler avoir fait moins fort que Get Out. à cause d’une trop grande confiance en soi ? Il n’empêche que son film reste impressionnant, notamment par sa maîtrise visuelle incroyable. Et aussi par sa capacité à multiplier les ambiances et les styles, à toujours faire rebondir l’histoire dans des directions inattendues.


7 - DOCTOR SLEEP – Mike Flanagan (USA)

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Les fans attendaient impatiemment le deuxième volet de Ça ; ce sera finalement le film de Flanagan qui aura été la grande adaptation Kingesque de l’année. J’ai de grosses réserves sur la partie « suite du Shining de Kubrick » - je pense toujours que c’était évitable, et qu’ils auraient pu s’y prendre autrement sans avoir besoin de se mesurer à l’indépassable. Mais tout le reste est vraiment excellent, et propose un schéma intelligent d’adaptation de l’auteur, qui rappelle les meilleures adaptations des années 70/80.


8 - EL REINO – Rodrigo Sogoroyen (Espagne)

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Après Que Dios nos perdonne, le réalisateur espagnol frappe encore plus fort en mêlant toujours plus intimement pur polar et cinéma politique. La caméra colle aux basques du personnage principal pendant plus de 2 heures, ne nous épargnant rien de ses états d’âme, contradictions, malversations, retournements… Jusqu’à un final en forme de point d’interrogation, proprement étourdissant. Le cinéma espagnol à son meilleur.


9 - GRÂCE A DIEU – François Ozon (France)

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Loin de ses aspects les plus fantaisistes, le film s’ancre dans la veine « sérieuse » du cinéma d’Ozon, d’une façon inédite : en s’emparant pour la première fois d’un sujet d’actualité, le réalisateur français dynamite le cinéma « à thèse » en lui injectant ses obsessions habituelles. Au plus proche des personnages, dans le film le plus long de sa carrière (2h15), il décortique une affaire récente qui prend une portée universelle. Politique, social, humain – lorsque Ozon fait du cinéma « engagé », c’est aussi puissant que d’habitude.


10 - GLASS – M. Night Syamalan (USA)

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On va pas reparler de la renaissance de Shyamalan au cinéma avec Split – vraie-fausse suite de son chef d’œuvre Incassable, qui replaçait le réalisateur au rang des gars sûrs. En annonçant le dernier film d’une trilogie inattendue, il avait alors créé une attente énorme… et a pu, donc, décevoir un tantinet avec ce film. Si ça ne s’est pas avéré aussi grandiose qu’espéré (à cause d’une partie centrale un peu molle et répétitive), le film n’en reste pas moins un tour de force narratif et conceptuel impressionnant. Un film qui s’améliorera certainement avec le temps et les visions futures.


Comme toujours, d’autres films notables n’atteignent pas les cimes du classement, mais méritent amplement d’être cités en complément.

A COUTEAU TIRES – Rian Johnson (USA)
Entre Cluedo et Columbo, le film de Johnson est surtout un réjouissant jeu de massacre, plein de numéros d’acteurs au bonheur communicatif.
ADULTS IN THE ROOM – Costa Gavras (Grèce/France)      
La crise économique grecque donne à Costa Gavras l’occasion de revenir au meilleur de son cinéma politique. Et de taper très fort sur le libéralisme qui dirige (mal) le monde.
LE CHANT DU LOUP – Antonin Baudry (France)
La preuve que, quand ils se sortent les doigts, les français sont eux aussi capables de livrer du superbe cinéma de genre, efficace, solide, bien interprété. Top, quoi.
ÇA CHAPITRE 2 – Andy Muschietti (USA)
Sue le moment, ce second film m’était apparu aussi bien que la première réadaptation du grandiose livre du King. Mais avec le recul, il n’est pas resté autant que ce premier volet. Bon film, mais aussi gavé de défauts.
CRAWL – Alexandre Aja (USA)
Le « meilleur film de l’année » selon Tarantino est surtout une excellente série B qui renoue avec un cinéma d’horreur au premier degré, redoutable et parfaitement mis en scène.
DOULEUR ET GLOIRE – Pedro almodovar (Espagne)
Après quelques films qui m’avaient laissé de marbre, ce dernier Almodovar m’a réconcilié avec le réalisateur espagnol. Beau et bien foutu, avec une construction scénaristique et un twix final qui butent.
THE IRISHMAN – Martin Scorsese (USA)
Le film-testament de Scorsese, adieu à une certaine forme de cinéma classique, a pu décevoir en regard du reste de son œuvre et par son statut de monument annoncé. Mais il se révèle totalement bouleversant dans ce qu’il dit du cinéma et son rapport à la cinéphilie.
JOHN WICK PARABELLUM – Chad Stahelski (USA)
Toujours plus hénaurme, bourrin, spectaculaire, inventif dans ses scènes d’action, le héros ultime incarné par Keanu Revves repousse les limites, et ravit les amateurs de cinéma d’action comme nul autre en 2019.
MARRIAGE STORY – Noah Baumbach (USA)
Aidé par deux acteurs au sommet (Scarlett Johansson et Adam Driver), Baumbach dissèque la lente décomposition d’un couple en crise et tape là où ça fait mal.
MINUSCULE 2 – LES MANDIBULES DU BOUT DU MONDE – Hélène Giraud, Thomaz Szabo (France)
L’animation française à son top – non seulement en termes techniques, mais aussi au niveau de la narration et de l’inventivité visuelle.
MATTHIAS ET MAXIME – Xavier Dolan (Canada)    
De retour dans son pays natal, le jeune prodige livre un film bien plus intéressant que son ratage américain sorti plus tôt dans l’année. Comme quoi, on n’est jamais meilleur qu’en restant fidèles à son cinéma.
MON INCONNUE – Hugo Gélin (France)
Comment prendre un genre – la comédie romantique, l’ancrer au sein d’un système gangrèné – la comédie française, et en tirer quelque-chose de très sympathique et très réussi. Et c’est la consécration de François Civil comme jeune acteur français qui monte le plus intéressant du moment.
TOY STORY 4 – Nick Cooley (USA)
D’un projet de film inutile après la conclusion parfaitement satisfaisante du troisième opus, Pixar parvient à tirer un film enthousiasmant. Même quand on n’en attend rien, le studio à la lampe élimine la concurrence.
TROIS JOURS ET UNE VIE – Nicolas Boukhrief (France)            
L’ancien co-fondateur de Starfix trouve dans le roman de Pierre Lemaître la matière idéale lui permettant de livrer son film le plus solide et le plus maîtrisé à ce jour.
UNE INTIME CONVICTION – Antoine Raimbault (France)
ça pourrait être du drama « à la française » lourdingue et convenu ; c’est complétement dynamité par une mise en scène au cordeau et une interprétation exceptionnelle.
YESTERDAY – Danny Boyle (Royaume Uni)
Sur le papier, l’équation Boyle + Curtis + The Beatles promettait un feel-good movie ultime, qui allait faire rire, pleurer, et bondir sur son siège. A l’écran, c‘est (presque) exactement ça.


Et je ne peux pas terminer cette année (encore plus que les précédentes) sans évoquer les trois mini-séries qui ont sans difficulté rivalisé avec les meilleurs moments cinéma de l’année :
CHERNOBYL
WATCHMEN
YEARS AND YEARS


Et au rayon des reprises et vieux films revus au cinéma cette année, j’ai pu me régaler sur grand écran de rien moins que :
MAD MAX – George Miller (Australie – 1979)
SHINING (Version longue restaurée) – Stanley Kubrick (Royaume Uni - 1980)
PREDATOR – John McTiernan (USA - 1987)




Du côté des flops, l’année aura été moins riche que certaines autres, en terme de daubasse, de films ratés, de nanars pathétiques. On retrouve bien ci-dessous quelques gros trucs pourris, avec des réalisateurs très attendus dans ce domaine (une année où on a droit à un Lelouch ET un Besson ET un Michael Bay est forcément une belle année merdique !), mais globalement, le niveau de merditude de 2019 n’a pas été exceptionnel.
Je noterai quand même que la plupart de ces films illustrent bien des tendances très problématiques du cinéma actuel (et là, je fais mon vieux Scorsese réac). Incarnées surtout par le Disney « live » qui n’apparaît qu’en troisième position, mais qui est certainement le film qui m’aura le plus énervé en 2019. Et effrayé, quant à l’avenir d’u cinéma (d’autant que je l’ai pas vu à sa sortie, mais justement au moment des grands débats lancés par Scorsese, Coppola and Co, dont cette bousasse est le parfait exemple, plus que les superhéros Marvel)

1 - LES PLUS BELLES ANNEES D’UNE VIE – Claude Lelouch (France)
Même pour du Lelouch, c’est de la merde en barre ! C’est dire le niveau de ce truc qui prétend même difficilement au titre de « film ».

2 - TANGUY, LE RETOUR - Etienne Chatilliez (France)
Le premier était peut-être le dernier bon film de Chatilliez, avant la déchéance. Cette suite tardive est la parfaite illustration de ladite déchéance (en plus d’être bien puant du cul)

3 - LE ROI LION – John Favrau (USA)
La négation ultime du cinéma formaté par Disney en cette fin de décennie : comment transformer un dessin-animé culte de la firme en un produit informe, laid et con.

4 - ANNA – Luc Besson (France)
Longtemps considéré comme « un des rares bons Besson », Nikita est en fait très pénible à revoir aujourd’hui. Alors, quand le français harceleur refait le film avec force anachronismes et mise en scène de feignasse, on dépasse encore les seuils de pénibilité.

5 - GIRLS WITH BALLS – Olivier Alonso (France)
J’ai beaucoup de sympathie pour le cinéma de genre français qui essaie de se dépatouiller des contraintes économiques et « politiques » compliquées. Mais faut pas nous prendre pour des cons quand même.

6 UNDERGROUND – Michael Bay (USA)
Ça me fait marrer de mettre le dernier film de Bay en 6ème position des merdes de l’année. C’est plus drôle que tout le film. C’est dire le niveau.

7 - X-MEN DARK PHOENIX – Simon Kinberg (USA)
Si c’était seulement mauvais, ça mériterait pas d’être classé dans les flops. Mais c’est l’adaptation du plus grand arc narratif de la meilleure période du meilleur comics de l’histoire. Donc, un viol de notre enfance.

8 - MEURS, MONSTRE, MEURS – Alejandro Fadel (Argentine)
Meilleur candidat à l’ élection de somnifère de l’année. Lorsqu’on se réveille un peu à la fin du film pour la conclusion, on est récompensé par l’apparition la plus grotesque vue sur un écran depuis longtemps ; merci bien !

9 - NICKY LARSON ET LE PARFUM DE CUPIDON – Philippe Lacheau (France)
Etonnamment moins désagréable, con et pourri que ce à quoi je m’attendais. Mais ça reste quand même désagréable, con et pourri.

10 - SIMETIERRE - Kevin Kölsch & Dennis Widmyer (USA)
Grosse actu Kingesque cette année (et c’est pas fini). S’il fallait payer pour avoir droit à Doctor Sleep et Ça Chapitre 2 d’une daube comme cette seconde adaptation (bien moins bonne que la première), ok, je signe.


Et pour quelques bouses de plus, moins catastrophiques…
MANHUNT - John Woo (Hong Kong)
Un film de John Woo, vraiment ? J’aurais préféré qu’il reste à la retraite…
DOMINO – Brian de Palma (USA)
Un film de Brian de Palma, vraiment ? J’aurais préféré qu’il reste à la retraite…
VICTOR ET CELIA – Pierre Jolivet (France)
La moins drôle des comédies françaises pas drôles de l’année.
RAMBO : LAST BLOOD – Adrian Grunberg (USA)
Le suites du fabuleux film original n’étaient déjà pas fameuses. Celle-ci les pulvérise encore, en se permettant en plus de ne rien comprendre au personnage.


Restent trois films (notables parmi quelques autres) que je ne qualifierai pas de daubes, mais qui ont certainement été de grosses déceptions :
MA VIE AVEC JOHN F. DONOVAN – Xavier Dolan (Canada)
Le ratage américain de Dolan a été d’autant plus flagrant qu’il a aussi livré un film de retour dans son pays natal, très bien quant à lui.
AD ASTRA – James Gray (USA) ; à cause de la fin
1h15 de 2001 contre 45 minutes de Armageddon, on y perd au change.
GLOTRIA MUNDI – Robert Guédiguian (France)
Quand le marseillais essaie de parler de ce qu’il ne connaît pas, ça a forcément moins d’impact que les films dont il maîtrise complétement le discours.[/b][/b]

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4Top / Flop Cinéma 2019 Empty Re: Top / Flop Cinéma 2019 Mar 24 Déc - 18:08

Cbyt



A part El Reino et Doctor Sleep j'ai vu tout ton top 10. Plein de trucs bien dedans. Je pense pas que j'aurai le courage de faire la même chose (même si j'ai tout dans mon tableur) mais j'aurai sûrement Greenbook et Le Mans 66 dans le haut du classement et sûrement pas Glass

5Top / Flop Cinéma 2019 Empty Re: Top / Flop Cinéma 2019 Mar 24 Déc - 18:22

Phil


Admin

Pas vu Greenbook, mais je doute d'aimer. Par contre, pas vu Le Mans non plus, mais lui aurait eu ses chances...

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6Top / Flop Cinéma 2019 Empty Re: Top / Flop Cinéma 2019 Mar 24 Déc - 18:43

Cbyt



Faut goûter avant de dire j'aime pas Smile

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