Musico Rapido

Domino, le prochain LP de Deportivo sortira en octobre prochain.

J'ai reçu une alrte pour un concert Prohom + Deportivo, vais ptet bien me laisser tenter !

Ils étaient hier soir en gratuit à République pour les concerts Oui FM mais j'ai le dos en vrac.
Sinon, ce soir c'est Eiffel.

Phil a écrit:Le nouvel album de Placebo - Loud Like Love (avec une pochette psyché à chier) sortira le 16 septembre; et ils seront à Bercy le 10 décembre.
Comment ça, on s'en fout ?

Le nouveau single, une grosse merdasse :

L'album solo de Cantat en novembre

Cool, en voila une bonne nouvelle !
(enfin, ça sera ptet pas bien, mais ça promet et ça attirera de toute façon la curiosité)

Mouarf, même quand on a l'habitude des caricatures débiles des reportages mainstream, ça fait toujours rire jaune :
http://www.arretsurimages.net/breves/2013-07-30/Hellfest-les-fans-de-metal-remontes-contre-M6-Telerama-id15927

J'ai vu ça hier. Et apparemment, c'est pas le premier reportage à charge que M6 diffuse.

Par contre, on peut profiter du site change.org sur lequel a été lancé la pétition pour apprendre à dire "Drogués, alcooliques, irrespectueux, voleurs, sales, satanistes" dans toutes les langues; A l'approche des vacances, ça peut toujours servir !

Phil a écrit:"Pendant que Daft Punk s’installe confortablement en tête des plateformes musicales mondiales, Liam Gallagher qui ne s’adoucit pas avec les années, a fait savoir qu’il en avait soupé des deux Français. «Lâchez moi avec Daft Punk j’aurais pu écrire leur album en une heure (...)

A propos de Daft Punk, excellent :
http://next.liberation.fr/musique/2013/08/07/get-lucky-de-daft-punk-moque-par-matt-damon-hugh-laurie-et-ashton-kutcher_923426

Ecouté le nouvel album de Placebo - Lound Like Love, après en avoir lu des dythirambes, notamment sur A Pink Dream, le forum français de The Cure.

Bon, c'est probablement ce qu'ils ont fait de mieux depuis 10 ans, en effet - voir ptet depuis Black Market Music.
Mais c'est pas une révolution non plus, "album de la maturité" mon cul, des sons et rythmes originaux chez Placebo, faut voir... c'est du pur Placebo seconde période. Mieux foutu que d'habitude, mais peanuts à côté de la première période.

Quand on vient de se prendre le nouveau NIN dans la tronche, ou même l'excellent dernier Franz Ferdinand, il est bien gentil Brian...
Je crois que perso, ça m'intéresse surtout plus d'écouter Placebo en 2013, alors qu'il y a bien d'autres choses qui m'enthousiasment largement plus.
Un bon disque, qui prouve que le groupe est pas encore vraiment mort - mais que j'écouterai probablement 2 fois dans ma vie.

(la fin sur Beging the End et When I Get Drunk... est carrément bien, mais vient un peu tard).

Ré-écouté le Placebo ce matin; je sais pas pourquoi, j'ai envie de lui donner sa chance, à cet album (sûrement le souvenir que Placebo a vraiment été un groupe sur lequel on pouvait compter, à une époque beaucoup trop lointaine).

Et en plus du fait que ça me touche plus, je crois qu'il y a surtout un problème intrinsèque du groupe. Qui est que, malgré ce qu'on peut lire ici ou là, Molko et Olsdal sont assez "limités". Je veux pas dire que c'est des gros débilo, mais qu'ils ont une capacité artistique limitée. Et ils ont tellement donné dans leurs 2ème et 3ème album (et aussi pas mal dans le premier) qu'ils ont tout de suite fait le tour de la question. Résultat, ils tournent en rond depuis, se répètent, balbutient... et ça perd de tout son intérêt.
Forcément, quand t'as balancé presque d'entrée de jeu un Without You I'm Nothing et un Black Market Music, t'es tenté de te reposer sur tes lauriers après. Mais on en connaît tant d'autres qui se reposent pas pour autant sur leurs acquis...

Evidemment, il faut ajouter à ça que Molko est vite devenu une tête-à-claques insupportable. Ce qui n'a rien à voir avec leur musique, mais y ressort quand même parfois (Too Many Friends, par exemple, la chanson anti-internet après avoir joué les pleureuses contre les méchants pirates qui téléchargent leur disque bonus qu'il fallait repayer avec Sleeping With Ghosts, ça fait gentiment rigoler).

Y'a un nouveau Arcade Fire qui se profile, donc tout le monde est déjà prêt à s'extasier (sauf moi).
Le nouveau clip a été diffusé aujourd'hui, et tout le monde a déjà joui (sauf moi).




Bon, pour le coup, c'est assez surprenant - et faut avouer que les canadiens ont toujours l'art de frapper un grand coup. Sans compter qu'un single de 7 minutes 42, ça court pas les rues. Et que le clip est très bien.
Mais bon, y'a pas de quoi se la mordre non plus... (j'écouterai quand même l'album quand il sortira, comme les précédents. et comme les précédents il ira rejoindre les limbes de mon disque dur)

Nouveau single de Gaëtan Roussel :

Bon ben je crois qu'on peut dire qu'il va être bien cet album !
(et quelle année musicale, dites donc...)

Phil a écrit:Ré-écouté le Placebo ce matin; je sais pas pourquoi, j'ai envie de lui donner sa chance, à cet album (sûrement le souvenir que Placebo a vraiment été un groupe sur lequel on pouvait compter, à une époque beaucoup trop lointaine).

Et en plus du fait que ça me touche plus, je crois qu'il y a surtout un problème intrinsèque du groupe. Qui est que, malgré ce qu'on peut lire ici ou là, Molko et Olsdal sont assez "limités". Je veux pas dire que c'est des gros débilo, mais qu'ils ont une capacité artistique limitée. Et ils ont tellement donné dans leurs 2ème et 3ème album (et aussi pas mal dans le premier) qu'ils ont tout de suite fait le tour de la question. Résultat, ils tournent en rond depuis, se répètent, balbutient... et ça perd de tout son intérêt.
Forcément, quand t'as balancé presque d'entrée de jeu un Without You I'm Nothing et un Black Market Music, t'es tenté de te reposer sur tes lauriers après. Mais on en connaît tant d'autres qui se reposent pas pour autant sur leurs acquis...

Evidemment, il faut ajouter à ça que Molko est vite devenu une tête-à-claques insupportable. Ce qui n'a rien à voir avec leur musique, mais y ressort quand même parfois (Too Many Friends, par exemple, la chanson anti-internet après avoir joué les pleureuses contre les méchants pirates qui téléchargent leur disque bonus qu'il fallait repayer avec Sleeping With Ghosts, ça fait gentiment rigoler).

Je ne suis pas un fan absolu de Placebo dont je ne dois avoir qu'un album et à peine écouté les autres. Mais devant la faible actualité musicale, je me suis laissé tenté et c'est une très bonne surprise. Quand ils ne tombent pas dans le tube FM comme le Loud Like Love d'introduction, Placebo livre des titres de très bonne facture.

Ah ben si t'as aimé celui-là, t'aurais mieux fait d'en profiter pour écouter un ancien !

Je peux caser ça ! Lequel ?

Idéalement, faudrait que t'aies le temps pour les 3 premiers...
Mais si tu peux en caser qu'un seul, ça DOIT être Without You I'm Nothing - un de mes albums préférés hors Cure/DM/NIN. (et pour le coup, à peu près tout le monde te dira pareil).

Sur le trajet du retour du boulot, écouté les morceaux que je préfère du dernier album sur Deezer. Très bien.
Le hic : il me restait un peu de temps à la fin, donc j'ai enchaîné sur Nancy Boy et Every You Every Me (la chanson pop-rock parfaite de Placebo, d'une efficacité redoutable et absolument imparable), et là, d'un seul coup, même ce qu'il y a de mieux dans le dernier album paraît moins bien !

De l'aveu même de Trent Reznor, il s'est fortement inspiré du fameux concert des Talking Heads immortalisé dans Stop Making Sense pour la mise en scène des concerts de la récente tournée estivale. Du coup, ça m'a donné envie de mater ce live, que je n'avais jammais vu à ma grande honte.
C'est clair que la mise en scène rappelle fortement les concerts récents de NIN : David Byrne débarque sur une scène au décor d'atelier en travaux avec sa guitare et lance une cassette avec des percussions électroniques pour jouer le premier morceau seul. A chaque chanson, ensuite, les roadies installent un nouveau matériel et un nouveau musicien du groupe débarquent un par un, morceau par morceau. Ajoutons à ça des jeux de lumière et des projections sur des écrans derrière le groupe...
Le concert est aussi célèbre pour être réalisé par Jonathan Demme, futur réalisateur (3 ans plus tard) du Silence des Agneaux. Dont la réalisation ici apporte un vrai plus à un concert déjà très élaboré - en jouant notamment autant sur ce qui se passe hors scène que sur celle-ci. Et en réalisant ce concert comme un film d'action, avec plein de plans-séquence caméra à l'épaule hyper fluides. Le montage est lui aussi très travaillé.

Un document live exceptionnel, qu'il faut avoir vu.
En plus, musicalement, Talking Heads ça bute (rien que Psycho-killer au début, une bombe). Et Byrne bouffe la scène.

Oh putain, en rentrant du ciné, on entend une chanson à la radio... qui ressemblait comme 2 gouttes d'eau à du Noir Désir, avec une voix très très proche de Cantat. Pendant quelques secondes, on se dit que c'est son nouveau titre, et on est heureux. Sauf que Shazam nous signale très vite que c'est Comme on respire, d'un certain Thomas B. QUi n'est autre que l'infâme Thomas Boulard de Luke, qui ne se contente plus de s'inspirer très fortement de Noir Des' mais pille avec encore moins de vergogne qu'avant l'héritage du groupe ! Pitoyable...
(le pire, c'est que si ça avait été le nouveau Cantat, ça aurait été pas mal, parce que logique : il continuait tout seul à faire du Noir Des' après la mort du groupe, rien à redire à ça. D'un seul coup, venant de ce petit con de Boulard, la même chanson devient un truc honteux. Au début de la chanson, j'avais pensé à un nouveau Saez, aussi - ça aurait pas été plus étonnant venant de lui).

Euh, c'est pas un peu partisan comme commentaire ?!

Ecoute cette merde, tu vas voir !

Sérieusement : partisan, je sais pas si c'est le mot. Mais pour préciser ce que je dis plus haut : du pompage de Noir Désir (mais vraiment, "pompage", là, c'est même pas assez fort) par Bertrand Cantat, c'est plus du pompage, c'est "le nouveau Noir Désir". La même chose par un des groupes suiveurs, qui a toujours joué les charognards dès Vilnius, c'est honteux.
Concernant Luke, outre tout ce que j'ai pu vomir sur La Sentinelle à l'époque, me souviendrai toujours le passage entre le premier album et le second. Le premier c'est du folk-rock français quelconque, sans intérêt mais sans rien de bien criticable. Le second, c'est du suce-boule de Noir Désir. Que c'est-il passé entre les deux ? Un indice : l'un est sorti en 2001, l'autre en 2004...

Je sais que tu vomis Boulard par tous les pores car pompé sur Noir Dez. Et je peux comprendre que le le copier-coller est un argument suffisant pour détester ... sauf que t'aimes bien Camouflage (je t'accorde qu'aucun des membres de DM n'a tué sa copine).
Mais pour le coup, j'écouterai quand même parce que j'aime bien les 2 premiers albums (et pas les suivants).

T'aurais pu citer Mesh, ça aurait encore mieux collé !
(je vomis aussi Boulard parce que c'est une tête de con, et pas que la tête - en plus de tout le reste...)