Je me rends compte que je n'ai pas encore parlé ici de cinéma indien... ma nouvelle passion depuis quelques semaines !
J'en rigole, mais c'est vrai que je suis complètement tombé dedans.
Il y a évidemment à boire et à manger, et peu de liens entre les films d'action décérébrés avec Tiger Shroff et les grands drames de 3h30 avec des chants et des danses dans tous les sens.
Mais, de ce que j'ai vu pour l'instant, il y a toujours des moments hallucinants à sauver, même dans les pires trucs improbables.
Et, quand c'est bon, ça tutoie des sommets auxquels le cinéma occidental n'est plus trop habitué, carrément.
Par exemple, mon film de l'année, pour l'instant, c'est l'incroyable RRR de S.S. Rajamouli, qui connait son petit succès en salle un peu partout en France en ce moment. Le plus grand blockbuster du cinéma depuis Mad Max Fury Road
Exemple typique de cinéma con, qui alterne le pire et le meilleur, la série des Baaghi (avec l'homme qui ne sait pas garder sa chemise plus de 15 secondes dans une scène d'action) :
Et, pour faire dans le typique, cette séquence chantée et dansée fleuve dans Om Shanti Om, qui convoque à peu près toutes les stars du cinéma indien à l'époque (2007) et avant - autant dire, une collection de demi-dieux et déesses dans leur pays :
J'en rigole, mais c'est vrai que je suis complètement tombé dedans.
Il y a évidemment à boire et à manger, et peu de liens entre les films d'action décérébrés avec Tiger Shroff et les grands drames de 3h30 avec des chants et des danses dans tous les sens.
Mais, de ce que j'ai vu pour l'instant, il y a toujours des moments hallucinants à sauver, même dans les pires trucs improbables.
Et, quand c'est bon, ça tutoie des sommets auxquels le cinéma occidental n'est plus trop habitué, carrément.
Par exemple, mon film de l'année, pour l'instant, c'est l'incroyable RRR de S.S. Rajamouli, qui connait son petit succès en salle un peu partout en France en ce moment. Le plus grand blockbuster du cinéma depuis Mad Max Fury Road
Exemple typique de cinéma con, qui alterne le pire et le meilleur, la série des Baaghi (avec l'homme qui ne sait pas garder sa chemise plus de 15 secondes dans une scène d'action) :
Et, pour faire dans le typique, cette séquence chantée et dansée fleuve dans Om Shanti Om, qui convoque à peu près toutes les stars du cinéma indien à l'époque (2007) et avant - autant dire, une collection de demi-dieux et déesses dans leur pays :