(en gras, les 52 chansons grandioses sur 54)
Lonesome Street, peut-être la chanson la plus bluresque de l’album d’entrée de jeu, histoire de bien marquer le retour au premier plan après 12 ans d’absence et imposer l’évidence de l’utilité du disque. Grand.
New world Towers, première rupture histoire là aussi de montrer dès le début que ça va partir dans tous les sens, un bon morceau planant très agréable sans être fondamental.
Go Out, premier morceau entendu, là aussi du pur Blur de chez Blur, un rouleau-compresseur d’une efficacité phénoménale, qui laisse sur place.
Ice Cream Man, fonctionne sur le principe d’alternance du début de l’album, plus douce, plus atmosphérique, superbe (et illustrant le côté légèrement conceptuel du disque)
Thought I was a Spaceman, la chanson la plus expérimentale du disque, aux multiples ruptues rythmiques et recherches musicales, qui s’engouffre avec génie dansl’espace laissé vacant par Radiohead.
I Broadcast, autre Parklife-like mêlant à l’énergie des trucs bizzaroïdes sortis de nulle part; imparable.
My Terracota Heart, pause "slow" bienvenue à ce stade de l’album pourune chanson mélancolique superbe où Albarn joue avec les limites de sa voix pour amener une émotion du plus bel effet.
There are too many of us, qu’on avait aussi entendue avant la sortie, est une superbe ballade aux violons lyriques accompagnant de belles envolées d’émotion.
Ghost Ship, la seule chanson de l’album qui m’emmerde un peu, trop mou et pas mon style, mais c’est peut-être bien en soi...
Pyongang , par contre, c’est peut-être ma chanson préférée de l’album... en plus, le début fait penser à Cold de Cure !
Ong Ong, bonne chanson popà l’ancienne, où le groupe paie son tribut aux groupes anglais des années 60, très plaisante mais un peu anecdotique.
Mirrorball, magnifique chanson de fin de disque comme ils savent si bien les faire - je vois bien la chose finir par remplacer lse classique "This is a low" en fin de concert...