Saison 1Solitude (Where Is Everybody?) *****
Premier épisode mortel, qui pose ben les bases de la série (mystère, ambiance angoissante, twix final...)
Pour les anges (One for the Angels) ****
Episode plus léger que le premier, mais très sympa
La Seconde Chance (Mr. Denton on Doomsday) **
Un épisode western comme il y en a plusieurs au long des 5 saisons (on pouvait utiliser les décors du studio à moindre coup). Et comme souvent carrément passable.
Du succès au déclin (The Sixteen-Millimeter Shrine) ***
La chute est très bien; c'est une super idée d'avoir pris Ida Lupino (une des rares femmes puissante du Hollywood des années 40-50) pour le rôle principal; mais à part ça, pas grand-chose
Souvenir d'Enfance (Walking Distance) ****
Bel épisode à base de voyage dans le temps et de leçon de vie, avec l'apparition de l'aspect "morale de l'histoire" inhérent lui aussi à la série.
Immortel, Moi, Jamais ! (Escape Clause) ***
Marrant, mais une impression de "tout ça pour ça" (et on voit la fin venir à des kilomètres)
Le Solitaire (The Lonely) *****
De la belle "SF morale" qui s'attache à l'humain au-delà de la science.
Question de Temps (Time enough at last) ******
Un des épisodes les plus cultes de la série, et un de mes préférés. Le personnage me parle tellement ! Du coup, la fin est un vrai cauchemar !
La Poursuite du Rêve (Perchance to dream) *
Premier épisode non scénarisé par
Rod Serling (remplacé par
Charles Baumont), et c'est pas une réussite. Bavard, en forme de psychanalyse assez grotesque à deux balles, à oublier.
La Nuit du Jugement (Judgment Night) ***
Bonne idée, mais lourdement et mollement illustrée. Dommage.
Les Trois Fantômes (And when the sky was opened) *****
Premier (d'une longue série) épisode tiré d'une nouvelle de
Richard Matheson; et ça place tout de suite la barre assez haut ! Le genre d'épisode pour lequel j'aime la série : mystérieux, angoissant, solide, redoutable.
Je sais ce qu'il vous faut (What you need) *****
Encore un super épisode en forme de fable morale - dans laquel un gros connard est puni d'être un gros connard. Un ton surprenant, mêlant légèreté (le personnage du vieil homme capable de voir ce dont les gens vont avoir besoin dans leur avenir immédiat) et noirceur (l'ambiance, le personnage de l'antagoniste...).
Quatre d'entre nous sont mourants (The Four of us are dying) ***
Un super concept (un homme capable de changer de visage à volonté), pas très bien exploité, mais un épisode plaisant.
Troisième à partir du Soleil (Third from the Sun) ******
Superbe ambiance de pré-apocalypse très "guerre froide", tension constante, réalisation top, et un twist qui bute. Un des grands grands épisodes de la série.
La Flèche dans le Ciel (I shot an arrow into the air) ****
Trois astronautes doivent survivre après s'être crashés sur une planète paumée - c'est un peu
Seul sur Mars (sauf qu'il est pas tout seul, et que c'est pas Mars), mais avec un twix. Bon épisode dans la moyenne de la série.
L'Auto-stoppeur (The Hitch-hiker) **
Un épisode plutôt apprécié et bien noté... je vois pas pourquoi ! Pas terrible, un concept mal exploité, un twist naze, et une voix-off envahissante et niaise. L'actrice est pas mal (physiquement), ça aide à passer le temps.
La Fièvre du Jeu (The Fever) ****
Tiens, un épisode en forme de conte moral; ça faisait un moment ! Un peu facile et grossier dans ses effets (les méfaits de l'argent et du jeu, blablabla), mais efficace.
Le Lâche (The Last Flight) *****
Super épisode à base de voyage dans le temps et de rédemption. Efficace et parfaitement construit.
Infanterie Platon (The Purple Testament) *
Un épisode lambda sans grand intérêt, qui ne vaut vaguement que pour son twix, et encore, il est bien rallongé inutilement alors qu'on a compris depuis 5 minutes.
Requiem (Elegy) **
Un épisode lambda sans grand intérêt, qui ne vaut vaguement que pour son concept, et encore, il est particulièrement mal exploité.
Image dans un Miroir (Mirror Image) ******
Un thème classique de la SF/Fantasy (le body-snatcher/doppelganger) magnifiquement illustré, dans un épisode angoissant et sombre. Vera Miles est excellente (et assez superbe
); l'épisode un des sommets de la série.
Les Monstres de Maple Street (The Monsters are due on Maple Street) ******
L'péisode le mieux noté de toute la série sur IMDB. Pas mon préféré... mais en effet, c'est bien un des meilleurs ! Un concentré de paranoïa qui exalte tout ce que l'homme a de meilleur (haine et peur de l'autre, égoïsme, rancoeur...), d'une noirceur hallucinante. On pense au
Dôme de King, mais concentré en 25 minutes puissantes.
Un Monde Différent (A World of Difference) ****
D'après
Richard Matheson - C'est un peu
The Truman Show avant l'heure; l'histoire d'un homme qui découvre un jour qu'il est un personnage de film hollywoodien et que toute sa vie est une fiction. ça ne vaut pas le film génial de Peter Weir, mais ça vaut le coup d'oeil.
Longue Vie, Walter Jameson (Long Live Walter Jameson) ****
D'après
Charles Beaumont - c'est cette fois un peu
Highlander avant l'heure; enfin, une histoire de mec immortel, quoi. Traitée avec un peu trop de blabla au détriment de l'action, mais la vision du sujet est intéressante. (et
Kevin Mac Carthy est super)
Tous les Gens sont partout semblables (All people are Alike all over) *****
Le récit de vaisseau atterissant sur une planète étrangère est un classique de la série. Cette version de l'histoire (avec un jeune
Roddy Mc Dowall) est très bien, avec une super chute (dont je me souvenais; me rapellais juste pas que c'était dans cet épisode précis)
Exécution (Execution) ***
Le retour su conte moral dans la série (épisode adapté d'une nouvelle de
George Clayton Johnson), mélangé ici à une histoire de voyage dans le temps. Où l'on découvre via la confrontation entre un homme et une époque qui n'est pas la sienne que les choses ne changent finalement pas beaucoup selon le degré de civilisation qu'on veut s'accorder.
Le Voeu Magique(The Big Tall Wish) *
En 1959, c'était sûrement très osé de faire un épisode quasi uniquement avec des blacks. Aujourd'hui, on s'en fout un peu, et ne ressort de celui-là que le côté gnangnan particulièrement pénible d'une histoire sans grand intérêt (avec des acteurs pas top).
Enfer ou Paradis (A Nice Place to visit) **
La chute est très bien (encore un conte moral); mais avant, il faut se taper 20 minutes de cabotinage parfois à la limite du supportable.
Cauchemar (A Nightmare as a Child) *
Nouvel épisode psychanalytique sans aucun intérêt, avec une gamine à la voix horrible, et où chaque idée est surlignée 12 fois dans les dialogues. Alors qu'on l'avait comprise depuis 10 minutes.
Arrêt à Willoughby (A Stop at Willoughby) *****
Bel épisode nostalgique qui peut parler à n'importe qui encore aujourd'hui - avec cet "homme moderne" dépassé par la vitesse du monde dans lequel il vit, qui préfère se tourner vers un univers plus paisible. Il ne se passe presque rien tout du long, mais ça prend quand même.
La Potion Magique (The Chaser) ***
Un épisode léger et marrant, totalement anecdotique mais plaisant.
Coup de Trompette (A Passage for Trumpet) **
Come si l'histoire n'était pas bateau, l'épisode tout mou, et l'intérêt bas; il faut en plus qu'on se tape des airs de trompette jazz bien gavants.
Un Original (Mr Bevis) **
Enième histoire d'un mec niais, qui se retrouve avec un ange-gardien niais et/ou à qui il arrive des événements qui le confortent dans sa niaiserie. On est bien loin de
Question de Temps...
Neuvieme Etage (The After Hours) *****
Un épisode particulièrement flippant, et au twist astucieux. Je m'en souvenais parfaitement, ce qui en fait un des segments les plus marquants de la série.
Le Champion (The Mighty Casey) *
L'épisode le plus mal noté de la saison sur IMDB... et, en effet, c'est tout pourri ! Une histoire de robot (débile) qui fait du baseball (on s'en tape), sous l'oeil de son entraîneur (crétin). Super...
Un Monde à Soi (A World of His Own) ****
On termine la saison sur un épisode léger, avec un bon concept (un écrivain ayant le pouvoir de vie et de mort sur ses créations), et une pirouette finale ironique et méta.