Après l'internet et le mobile, Niel décline un nouveau concept "free" : l'école.
Je ne sais pas si c'est en référence à La Grande Question sur la vie, l'univers et le reste que Niel a créé 42 mais il a bien l'intention de bouleverser l'apprentissage des technologies du numérique. Si l'intention est généreuse et louable, je reste perplexe quant au résultat car si le rapport prix/qualité de l'enseignement qu'il révèle n'est pas infondé, il y a un point à ne pas négliger, c'est qu'en France, toutes les grandes entreprises font le jeu de l'élitisme des "grandes écoles" au mépris des universitaires et qu'il va falloir un peu plus qu'un beau concept pour révolutionner le numérique dans l'hexagone. Et son acolyte, Nicolas Sadirac, doit en savoir quelque chose car Epitech et Epita sont loin de faire l'unanimité auprès des entreprises (malgré les 6 ou 7000 euros par an). Quand à la création de start-up, le France est loin d'être un eldorado pour créer son entreprise (pour 1 qui réussit et encore jamais du premier coup, combien se sont vautrés ?)
Encore une fois, je trouve l'idée très louable (et pourtant je ne pense pas que du bien du garçon) mais il faudrait sans appui de réseaux d'entreprise ET d'aide de l'état à l'auto-entreprise, son truc est voué à l'échec ... d'autant que des développeurs, il y en a des wagons mais ce qui manque cruellement, ce sont des entreprises innovantes sur le sujet (et qui puisse rester compétitive).
L'article complet de PC INpact
Je ne sais pas si c'est en référence à La Grande Question sur la vie, l'univers et le reste que Niel a créé 42 mais il a bien l'intention de bouleverser l'apprentissage des technologies du numérique. Si l'intention est généreuse et louable, je reste perplexe quant au résultat car si le rapport prix/qualité de l'enseignement qu'il révèle n'est pas infondé, il y a un point à ne pas négliger, c'est qu'en France, toutes les grandes entreprises font le jeu de l'élitisme des "grandes écoles" au mépris des universitaires et qu'il va falloir un peu plus qu'un beau concept pour révolutionner le numérique dans l'hexagone. Et son acolyte, Nicolas Sadirac, doit en savoir quelque chose car Epitech et Epita sont loin de faire l'unanimité auprès des entreprises (malgré les 6 ou 7000 euros par an). Quand à la création de start-up, le France est loin d'être un eldorado pour créer son entreprise (pour 1 qui réussit et encore jamais du premier coup, combien se sont vautrés ?)
Encore une fois, je trouve l'idée très louable (et pourtant je ne pense pas que du bien du garçon) mais il faudrait sans appui de réseaux d'entreprise ET d'aide de l'état à l'auto-entreprise, son truc est voué à l'échec ... d'autant que des développeurs, il y en a des wagons mais ce qui manque cruellement, ce sont des entreprises innovantes sur le sujet (et qui puisse rester compétitive).
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