J'aime bien la conclusion de l'article du Canard sur les départementales à venir, qui résume tout à fait la situation :
"Résumons : les Français sont appelés aux urnes les 22 et 29 mars pour des cantonales rabaptisées départementales, qui vont élire des couples dont on ignore ce qu'ils feront dans une collectivité dont on ne sait plus quelles sont les compétences et si elle sera ou ne sera pas condamnée à disparaître. Si cela ne leur donne pas envie de voter massivement, c'est à désespérer des réformes."
"Résumons : les Français sont appelés aux urnes les 22 et 29 mars pour des cantonales rabaptisées départementales, qui vont élire des couples dont on ignore ce qu'ils feront dans une collectivité dont on ne sait plus quelles sont les compétences et si elle sera ou ne sera pas condamnée à disparaître. Si cela ne leur donne pas envie de voter massivement, c'est à désespérer des réformes."