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Le cinéma est plus harmonieux que la vie, il n'y a pas d'embouteillages dans les films. Les films sont comme des trains qui filent dans la nuit (François Truffaut)

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SHINING, Ze Riteurne par Stephen King

3 participants

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Phil


Admin

Phil a écrit:Fini ! Et c'est vraiment énorme Smile))
Bon, quand on a dit ça, on a rien dit, en même temps…

Passons rapidement sur l’expérience de la lecture du livre en version originale – on en a déjà parlé plus haut ; ça s’apparente un peu en effet à une redécouverte de la lecture, où les réflexes habituels sont remplacés par de nouveaux, qui s’impriment très vite. Si on ne comprend pas toujours mot à mot ce qu’on lit, le sens général s’impose dans tous les cas – et la lecture devient très vite fluide et naturelle (même si ça prend forcément plus de temps).
Rassuré par cette lecture, je sais maintenant que je m’attellerai sans problème à de nouveaux livres en anglais à l’avenir. Tout en me disant toujours que je vais quand même réserver ça à des trucs a priori pas trop ardus (je me vois pas lire de la hard SF à la Baxter en anglais par exemple), et que je vais attendre encore aussi quelques livres pour les auteurs l’écriture plus soutenue (Paul Auster ou Russel Banks, ça va pas être pour tout de suite, quoi)

Sur le livre en lui-même… J’ai déjà dit sur l’ancien forum que depuis qu’il avait terminé La Tour Sombre, Stephen King semblait avoir rebondi sur une nouvelle phase de sa carrière absolument passionnante. On aurait pu croire que sa monumentale saga l’aurait asséché, elle a au contraire constitué la fermeture d’une parenthèse qui lui permet maintenant d’offrir des livres toujours plus personnels et souvent plus conceptuels. On peut voir la fin des aventures de Roland et son Ka-Têt comme une libération de ses « obligations » envers ses lecteurs, lui laissant le champ libre pour une version littéraire des séries qu’il aime type Lost (Dome), pour son roman sans cesse repoussé sur l’assassinat de Kennedy (22/11/63), ou une suite de Shining.

C’est cette liberté retrouvée qui frappe à la lecture de ce DOCTOR SLEEP – en plus du  fait que l’auteur vient quand même de nous balancer 3 livres extraordinaires de suite (ce qui troue pas mal le cul, pour un vieux qui n’a plus rien à prouver) ! Parce qu’ici, King ne se contente pas de faire une « simple suite » de son livre mythique – ce qui aurait déjà contenté la plupart de ses lecteurs-fans au-delà de leurs espérances.
Ne nous y trompons pas : les aventures d’un Danny Torrance devenu adulte et toujours aux prises avec son don autant qu’avec un alcoolisme poussé et des souvenirs des événements de son enfance l’empêchant de vivre normalement, sont le socle de base de cette suite. Qui joue assez logiquement, très efficacement, et parfois (souvent) même avec génie, des ingrédients attendus de toute séquelle qui se respecte : que sont devenus les personnages secondaires, comment les événements du premier livre influencent l’histoire du second, comment le shining évolue à l’âge adulte, etc. De même, des motifs du premier livre reviennent de manière récurrente dans le second, ou parfois simplement au détour d’une scène (le Redrum fugitif au détour d’une page est un bel exemple de fan service jouissif !). Enfin, il y a bien là un côté « feuilletonesque » qui colle très bien au concept de suite, avec par exemple le retour sur les lieux de l’Overlook dévasté ou les révélations sur la famille de Danny.

Pour autant, King ne s’endort pas sur ses lauriers et ne se contente pas d’aligner les clins d’œil faciles à Shining, mais développe au contraire une histoire originale qui n’a rien à voir avec le premier, introduit de nouveaux personnages, de nouveaux enjeux, de nouveaux concepts. Ce qu’il fait, en fait, c’est transporter son personnage principal dans un nouvel univers – « une nouvelle aventure de Danny Torrance ». Et comme sa nouvelle histoire de vampires psychiques aux prises avec une petite fille dotée d’un shining surpuissant est captivante, puissante, pleine de superbes trouvailles (les containers de vapeurs ou la rubéole – je ne vous dis que ça Smile), on y gagne sur tous les tableaux. Tout juste pourra-t-on trouver la résolution de l’intrigue un peu facile et recourant à des idées d’affrontements psychiques déjà vus et revus chez l’auteur. Un petit défaut - justement habituel chez King et auquel on s’est habitués d’une certaine façon – qui ne gâche en rien l’excellence de l’ensemble. D’autant que la toute fin du livre est magnifique.
Au-delà de tout ça, l’écriture de King et son sens de la narration ne sont plus à démontrer, et s’avèrent tout aussi redoutables ici qu’à son habitude. On s’attache très vite non seulement à la version adulte de Danny, mais aussi à tous les nouveaux personnages introduits ici. Comme toujours, King a le chic pour trouver tout un tas d’anecdotes et de traits de caractères définissant chacun d’eux, qui amènent le lecteur à devenir leur familier et à les aimes avec leurs qualités et leurs défauts. Constante aussi chez l’auteur : la construction du livre, émaillée d’une multitude de détails constituant une architecture complexe et d’une grande précision. Ainsi, le récit file à toute vitesse, dans un enchaînement logique de péripéties agrémenté de quelques séquences chocs et de morceaux de bravoure.
Comme le premier Shining était un livre très personnel pour King (d'où son ressentiment à l'adresse du film de Kubrick - il en remet une toute petite couche ici dans la postface), cette suite est elle aussi très personnelle. Sauf que King se réfère à ses démons de l'époque, et à la manière dont il s'en est débarassé, plutôt qu'à ses démons actuel d'homme apaisé. Plus qu'à la fouille de sa personalité et à sa vision du monde, il se coltine à sa légende personnelle - et ce qu'il en fait est là encore captivant.
Tous éléments qui sont la marque d’une littérature de divertissement haut de gamme à faire rougir les pisse-copies qui pullulent dans les transports en commun, dont Stephen King est plus que jamais l’un des plus dignes représentants (LE plus digne, en ce qui me concerne).

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

Continuant sur cette bonne lancée, vais me faire le prochain King, Joyland, en Epub numérique itou (mais pas tout de suite)...

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Cyrille



Le prochain qui est en fait le précédent !

Phil


Admin

Oui, c'est vrai !
(on va pas en vouloir à Albin Michel de faire un coup commercial en sortant d'abord Shining 2)

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Cyrille



Nadine Gassie n'avait pas encore acheté son dico spécialisé dans les manèges et les fêtes foraines

Phil


Admin

Edition française chez Albin Michel reçue.
Comme on s'y attendait, c'est du beau livre soigné - comme d'hab' ils mettent le paquet au niveau de la présentation sur les King. Je le parcourrai pour voir ce que donne la traduction de notre amie Nadine (avant que Diane le lise) !

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Cyrille



Les true Knot, elle appelle ça les vrais noeuds ?

Cyrille



Il y a quelques pages en lecture gratuite sur le site

Troisième ligne : L'overlook fut déclaré perte totale.

Plus loin, elle traduit tenement apprartment par appartement dans un immeuble de rapport. Pourquoi de rapport ? (expression typiquement française, désignant surtout des immeubles parisiens !)

"Parce que de tous les morts-vivants, ç'avait été elle la pire" (quelle élégance...)

Elle laisse Mrs. au lieu de mettre Mme... ça se discute...

Bref, tout ça sur 4 pages !

Cyrille



Pour les True Knot, je pose la question sur le forum du belial, histoire de rigoler un peu...

Phil


Admin

Hahaha, je te dis ça ce soir !

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Cyrille



Le Noeud vrai !!!!! Je rêve !

Phil


Admin

Naaaaan ??? Shocked Quelle tête de noeud (mouarf)
(remarque, ça aurait été pire avec "Le vrai noeud")

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Phil


Admin

Première page, dédicace : "Où que tu sois, copain" Smile
Elle a bien traduit steam par vapeur, logique et ça aurait pu être pire - mais elle aurait aussi pu faire l'effort de chercher quelque chose de plus évocateur, type essence (ça m'a pris une demi-seconde)
A côté de ça, y'a en effet des trucs non traduit, comme Teenytown.

Le Noeud Vrai, mandieu...
Et les noms de ses membres, c'est aussi une catastrophe.

Oh putaing, l'hérésie totale ! Redrum = attention... Tromal !!!
(pour le coup, je vais vérifier dans Shining comment ça avait été traduit à l'époque. mais bon, c'est culte, quoi, y'a rien à changer, là !)

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Phil


Admin

Ouais, c'est bien ce qu'il me semblait, c'est déjà Tromal à la base...
C'est pas une raison !

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Cyrille



Elle laisse Mrs, mais elle traduit Redrum...

Au pire, elle met ertruem

Les noms des vrais glands, ça doit être bon, en effet !

Phil


Admin

Article et longue interview de King dans le nouveau Télérama.

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Phil


Admin

+ une critique très positive du livre - voir ci-dessous.
Et tout ça est très très bien. King est un peu un ermite qui parle très peu, mais se dévoile beaucoup à ses lecteurs dans ses romans, souvent via des postfaces chaleureuses. Du coup, l'interview, au delà de son aspect événementiel, relaie une parole bienvenue.
quelques extraits ici : http://www.telerama.fr/livre/stephen-king-l-essentiel-pour-tout-ecrivain-est-d-ecrire-sur-ce-qu-il-connait,104234.php




La tendre jeunesse de Danny Torrance pourrait se résumer en une phrase : « Viens ici, petit merdeux, viens recevoir ta raclée ! » Au rayon des enfants martyrs, le petit héros de Shining occupe le premier rang : dans les couloirs de l'hôtel Overlook, il subit non seulement la traque acharnée d'un papa hagard, ivre et meurtrier, mais aussi l'attaque de tout un tas de fantômes très mal intentionnés. Difficile de faire plus terrifiant que ce roman mythique, le troisième de Stephen King, publié en 1977. Même sans être habité par le souvenir de Shining l'adaptation de Stanley Kubrick (1980) et les rictus de Jack Nicholson, cette histoire, aussi cruelle, aussi psychologiquement vertigineuse qu'un conte de Grimm plein de maléfices et d'infanticides, ne s'oublie plus jamais.

Lui donner une suite comportait des risques que Stephen King mesure lui-même. D'abord, rien ne se compare jamais à la première peur, celle qu'on éprouve, dit-il, « en lisant sous les draps à la lueur d'une lampe de poche ». Ensuite, comment continuer ce qui formait un tout, ce qui s'était parfaitement conclu et résolu ? En faisant grandir Danny. Le voilà donc désormais jeune homme, puis quadragénaire, hanté par les spectres du passé — littéralement, puisqu'il les conserve dans une sorte de boîte virtuelle, tout au fond de son esprit. La force de ces retrouvailles, comme avec un ami longtemps perdu de vue, c'est de pouvoir mesurer, à ses errances et à ses blessures, la marque du temps, les conséquences du passé. Danny, ou Dan, désormais, est devenu aussi alcoolique, aussi paumé que son père. Quand on le découvre, adulte donc, c'est à l'occasion d'un lendemain de cuite magistrale, dans le lit d'une inconnue ramassée la veille dans un bar. Il est en train de toucher le fond, le temps d'un chapitre dur, poignant. King y scrute, jusqu'à la limite du supportable, le dégoût de soi, la perte des repères, tout ce qui accompagne le naufrage de l'addiction.

Il y a deux livres en un dans Docteur Sleep : le héros du premier, chronique d'un réalisme douloureux, c'est bel et bien le « monstre » de l'alcoolisme. Mais, à la différence de son père, l'ivrogne de Shining, Dan trouve sa chance de rédemption dans une communauté humaine chaleureuse comme les aime l'auteur, une petite ville du New Hampshire, avec ses figures pittoresques, mais aussi ses réunions des Alcooliques anony­mes... Le vagabond lessivé se pose enfin, se trouve des amis, un boulot. Aide-soignant dans un hospice, il assiste la mort des vieillards, à sa manière. C'est que, depuis l'enfance, il n'a pas perdu le Don. Ce pouvoir, entre télépathie et voyance, le pousse à aider Abra, une adolescente dotée des mêmes aptitudes magiques. Là s'épanouit le second livre contenu dans Docteur Sleep. Un récit de genre, joyeusement assumé comme tel, con­cocté pour effrayer et divertir. Après 22/11/63, grande fresque fantastico-historique ambitieuse parue il y a deux ans, King s'offre une récré macabre : aussi cocasses que terrifiants, ses « méchants » ressemblent ici à d'inoffensifs touristes, sillonnant l'Amérique en camping-car. Sortes de vampires spirites, croque-mitaines improbables, en shorts à fleurs et casquettes de base-ball, ces êtres surnaturels qui se nourrissent du Don des enfants, en les torturant et les tuant, vont-ils parvenir à dévorer la petite Abra ?

Dans le tumulte d'une aventure picaresque, pleine de rebondissements, de visions (et de caravanes...), King prouve encore une fois qu'il est un conteur diabolique, capable de nous éblouir avec de la poudre de perlimpinpin comme de nous faire toucher la réalité la plus poisseuse. Surtout, il a réussi une prouesse digne d'un ma­gicien : libérer Danny des pages de Shining, pour lui offrir un livre rien qu'à lui et, surtout, une chance de résilience.

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Cyrille



le 16 novembre au Grand Rex, à Paris, à partir de 20h30, soirée débat en présence de l'écrivain présentée par Augustin Trapenard, avec le romancier Maxime Chattam

Mon dieu, entre Trapenanrd et Chattam, c'est à qui sera le plus con !

Phil


Admin

Ouais, j'ai vu ça, c'est dramatique; il sait pas dans quoi il s'est engagé le Stephen !
Le pire, c'est que ça va servir Chattam - je vois d'ici les qualificatifs de "King français" à venir !

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Phil


Admin

Pour le passage historique du King en France, La Grande Librairie du jeudi 14/11 (à 20h40 sur France 5) sera consacrée à l'auteur, avec interview et tout ce qu'il faut pour fêter l'événement. Ca se loupe pas (même si je voie bien Busnel tenter difficilement de cacher le fait qu'il se demande ce qu'il fout là alors qu'il pourrait interviewer un "vrai écrivain sérieux")

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Phil


Admin

«Comment je me sens d’être là? Ravi! Moi, je suis un vieil écrivain lessivé, alors quand je vous vois tous là, nombreux, j’ai l’impression d’être Justin Bieber… Question suivante?» Si le cadre était rigide (inscription un mois plus tôt, prière d’arriver une heure à l’avance, d’afficher un badge, de laisser manteaux au vestiaire), et s’il est venu précédé de gardes du corps, Stephen King n’a été qu’affabilité lors de la conférence de presse qu’il a donnée mardi après-midi à Paris. C’était la première fois que l’écrivain venait en France pour la sortie d’un de ses livres, Docteur Sleep (Albin Michel).

En pull camionneur beige sur t-shirt noir, le regard bleu perçant malgré une dégénérescence de la cornée, l’auteur de Carrie, Ça, Shining, Misery, Dôme – et du présent(et réjouissant) Docteur Sleep qui apporte une suite à Shining – a jonglé en vieux briscard généreux avec les questions de journalistes venus des quatre coins de la planète. Sens de la répartie y compris face aux questions ineptes, blagues, anecdotes… L’homme aux trois cents millions de livres vendus à travers le monde, machine à glacer les échines, pilier de la littérature populaire depuis quelques années adoubé jusque dans les colonnes les plus chics, n’a pas viré diva. Extraits.

Quel pouvoir surnaturel aimeriez-vous posséder ? «Tous! Pas sûr, en fait… Lire dans les pensées des autres comme l’enfant de Shining, ce n’est pas pour moi. Regarder dans le trou de la serrure, ça peut vous revenir dans la figure. Ah, si, être capable de localiser des choses perdues! Je perds sans arrêt mes clés, je ne trouve même pas la moutarde dans le frigo, ma femme appelle ça «la cécité du réfrigérateur.»

La publication littéraire via Internet? «[…] Aujourd’hui, il n’y a plus de gardien de but, plus personne pour vous dire que votre grammaire est nulle, que votre truc est plein de clichés, donc les gens balancent les mots n’importe comment, et ils s’en foutent. Il n’y a pas grand-chose à faire hormis espérer que les lecteurs recherchent la qualité. Or certains de ces livres marchent… Fifty Shades of Grey, franchement, c’est pas très bon.»

Ecrivez-vous toujours en écoutant du metal ? «J’ai les oreilles cramées car plus c’est fort et plus j’aime. […] AC/DC, Metallica, Judas Priest, Anthrax… Mais j’aime aussi James McMurtry, et d’autres chanteurs du côté de la country.»

Après Maximum Overdrive, referez-vous un film, comme réalisateur ? «Maximum Overdrive, c’est un navet, mais il faut garder à l’esprit que je travaillais avec une équipe italienne dont je ne comprenais pas un mot, et puis j’étais défoncé ou bourré, ou les deux…»

Sur l’assassinat de JFK, qui lui a inspiré 22.11.63, où il imagine qu’en remontant dans le temps, un petit prof pourrait inverser l’histoire : «L’assassinat de JFK, c’est un de ces très rares moments où quelqu’un change le cours du monde sans être un politicien, un scientifique, un prix Nobel… C’était juste un petit connard qui s’y connaissait un peu en tir, et puis il s’est trouvé au bon endroit, contrairement aux prévisions météo, il a fait beau donc Kennedy était en cabriolet, et voilà…»

A propos de Shining : «Dans mon livre, il finit par brûler, dans le film de Monsieur Kubrick, il finit gelé, pris dans la neige. C’est ça: un livre chaud, un film froid.»

Qu’allez-vous faire de votre temps libre à Paris ? «Il faut que j’aille au Louvre, il faut que je mette un peu de rouge à lèvres pour aller embrasser la tombe d’Oscar Wilde, et bien sûr aller faire un pèlerinage sur la tombe de Jim Morrison… Enfin quoi, je suis qui je suis, bien sûr que je vais aller au cimetière et dans les catacombes!»


(source : Libé)





Dont une nouvelle vanne sur le Shining de Kubrick, mais là je pense qu'il avait jamais fait mieux :
«Dans mon livre, il finit par brûler, dans le film de Monsieur Kubrick, il finit gelé, pris dans la neige. C’est ça: un livre chaud, un film froid.»
Smile



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Cbyt



J'aime bien aussi sa remarque sur la "qualité" littéraire...

Cyrille



Il devrait s'interroger sur la qualité littéraire de sa traductrice...

Phil


Admin

Ca serait trop bon que quelqu'un aborde le sujet pendant son "marathon" français du moment !

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Phil


Admin

Rho, c'était bien (mais trop court !), une heure avec King à La Grande Librairie Smile

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