Other Worlds - Le forum de The X Phil
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Other Worlds - Le forum de The X Phil

Le cinéma est plus harmonieux que la vie, il n'y a pas d'embouteillages dans les films. Les films sont comme des trains qui filent dans la nuit (François Truffaut)


Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Rapido films - Ze quick critix volioume tri

+3
Séba
HellHawk
stanley lubrick
7 participants

Aller à la page : Précédent  1 ... 18 ... 33, 34, 35 ... 40  Suivant

Aller en bas  Message [Page 34 sur 40]

Phil


Admin

Et même, sans mecs qui s'enculent, c'est pas du Téchiné ! Very Happy

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

Pendant que Cyrille voyait le dernier Téchiné (ou plutôt pendant la première partie du concert... Clarinetta et Vincent Bagou ?), j'étais aussi dans les salles obscures, devant TRIPLE 9 de John Hillcoat.
Qui a plein de bonnes choses pour donner un bon polar moderne : un casting à rallonge monstrueux (je vais pas tous les citer, mater la fiche IMDB du truc - juste noter l'excellente Kate Winslett dans un rôle à contre-emploi de mafiosa russe. et Wonder Woman en bikini), des scènes d'action très violentes, une mise en scène nerveuse, des personnages tordus et complexes, une ambiance sombre et désespérée...
Mais qui souffre d'un rythme en dents de scie, d'un excès de bonnes intentions pas abouties, du fait de se reposer un peu trop sur ses bases solides pour ne pas aller plus loin...
C'est un peu une occasion ratée : un bon film, en soi, mais qui aurait pu être beaucoup mieux s'il était allé au delà du travail appliqué un peu bateau.

Mais à côté de ce que j'ai vu en DVD hier, c'est un chef d'oeuvre !
L'anti Gang est un film d'action français de Benjamin Rocher - réalisateur de La Horde et un des deux Goal of the Dead. Soit un jeune gars venu de la critique alternative (Mad et consorts), qui s'amuse comme ses potes à faire du "film de genre décomplexé". Et qui, comme ses potes, n'arrive jamais à faire un film satisfaisant. Ici, on voit toujours toutes les coutures, et aussi tout l'amour porté - là au film d'action à l'américaine, typique des VHS des années 80. ça me parle totalement, et je vois ce que les gars ont voulu faire. Mais ça ne fonctionne pas, au delà de la sympathie qu'on peut accorder au projet. Parce que, comme La Horde qui ne tenait que par ses scènes d'horreur, le film ne tient que par ses scènes d'action. Et encore, parce qu'elles sont à peut près bien filmée, et mettent la patate. Sinon, elles ne veulent pas dire grand-chose. à l'image du film, assemblage de clichés et de situations 1000 fois vues et connues par coeur.
En plus, y'a Jean Reno dans le rôle principal, une catastrophe !

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



(J'ai oublié le nom de la première partie de Zazie, un jeune guitareux gentil mais peu original)

Phil


Admin

Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 99-Homes-affiche

Après The Big Short vu et chroniqué en début d'année, c'est un autre excellent film sur la crise immobilière et financière aux Etats-Unis qui a débarqué en VOD récemment : 99 HOMES de Ramin Bahrani.
Pas de leçon d'économie cette fois (même au second degré), mais une plongée au sein de drames accompagnant les propriétaires expulsés de chez eux par les banques. La bonne idée du film, c'est de faire de son personnage principal (Andrew Garfield, excellent) un de ces proprios expulsés, qui se retrouve de l'autre côté de la barrière. Au contact d'un homme d'affaire rapace et sans aucune morale (Michael Shannon, monstrueux dans tous les sens du terme), il va devoir tourner le dos à tous ses idéaux pour devenir lui aussi un gros enfoiré luttant pour survivre dans un monde d'enfoirés.
Conçu et filmé comme un thriller, le film prend aux tripes et révolte constamment. (ça rappelle aussi par moments La Loi du Marché, et c'est aussi sombre).

à voir.

https://thexphil.forumactif.org

Cbyt



Five, dernière comédie en date avec Pierre Niney à l'affiche confirme tous ses talents de comédien et réussit à tirer vers le haut ce premier film de Igor Gotesman (Auteur, Réalisateur et Acteur), à la croisée de Klapisch et Apatow, plutôt réussie dans l'ensemble et qui amène un peu de fraîcheur dans un genre où les français ont une tendance à tourner un peu en rond.

Phil


Admin

Vu Les Suffragettes, que j'aurais jamais maté si Cyrille m'en avait pas dit du bien à sa sortie... et c'est vrai que c'est très bien ! (et tout aussi "joyeux" qu'énervant !)

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

KILL YOUR FRIENDS de Owen Harris, est une sorte de mix entre les romans (et scénarios) de Nick Hornby et Trainspotting. L'histoire d'un directeur artistique musical anglais à la fin des années 90 qui doit à tout prix dénicher le nouveau groupe à la mode qui fournira un tube imparable (pour le côté Hornby) tout en assurant sa place dans la compagnie pour pouvoir continuer de vivre ses excès d'alcool, de drogue et de sexe (pour le côté Trainspotting).
Sur la forme, c'est très pompé sur le film de Boyle, et d'autres. ça donne un film flamboyant, à la mise en scène clippée, plein de musique d'époque (le générique sur Beetlebum, une séquence rythmée par Oasis, une autre illustrée par le clip de Karma Police...) et de gros délires visuels. Dans le rôle principal, Nicolas Hoult est déchaîné, loin de son image de gentil garçon des X Men - et ses camarades se lâchent bien aussi.

Absolument pas original, mais absolument jouissif, drôle, cynique et violent. Un excellent apéro en attendant le retour de la bande de tarés dans Trainspotting 2 Very Happy

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Vu Everybody wants some, de Richard Linklater

J'ai beau trouvé les 70's fascinantes, et aimer le cinéma de Linklater (Boyhood...), le film ne raconte quasiment rien.

Phil


Admin

Ah ok, j'hésitais sur celui-là, j'attendrai le DVD !

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Je pense ceci dit que plein de trucs te plairaient dedans

Phil


Admin

Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 Gr_quad_art_retouch_final-2

J'avais pas trop aimé Blue Ruin, le premier film de Jeremy Saulnier, jeune français travaillant aux states. Une histoire de clodo cherchant à assouvir sa vengeance, que je trouvais soit trop ancrée dans le cinéma indépendant américain au détriment du film de genre, soit l'inverse. Attiré par un tas d'avis positif et un sujet qui promettait d'envoyer du bois, j'ai quand même tenté son second film sorti au cinéma cette semaine, GREEN ROOM; et j'ai bien fait !

Cette fois, au moins, Saulnier n'hésite pas une seconde (enfin, si, un peu dans les 10 premières minutes, mais c'est pas grave) et s'attaque à un pur film de genre, sans se préoccuper de quoi que ce soit d'autre que de coller le spectateur à son siège.
L'histoire suit un jeune groupe punk qui se retrouve à devoir jouer dans un bar de néo-nazis paumé au milieu de la forêt en banlieue de Portland. A la fin de leur set, le quatuor retourne en coulisses récupérer son matériel dans la "green room" du titre (alias l'espèce de loge pourrie où ils se sont préparés), où l'un d'eux est témoin d'un meurtre perpétré par un des fachos du coin, sur sa petite amie. Le groupe se retrouve alors enfermé dans la salle, pendant que les nazillons s'organisent à l'extérieur pour effacer toute trace des événements. Rejoints par le chef de leur mouvement, les nazis vont alors s'engager dans un affrontement avec le groupe de jeunes, qui va devoir lutter les armes à la main pour survivre.

Il y a pas mal de sous-texte dans le film, plutôt bien amené : sur l'éternel affrontement entre l'extrême gauche et l'extrême droite, sur la dérive facho des Etats-Unis, sur l'opposition entre la jeunesse et la génération de leurs parents...
Mais on s'en fout un peu ! L'essentiel, c'est que Green Room soit un pur survival énervé, méchant, agressif, hyperviolent, gore, et j'en passe ! Le film fonce constamment dans le tas, accumulant les scènes hargneuses et n'hésitant pas à décimer les neuf dixièmes du casting (d'un côté comme de l'autre) à grands renforts de coupe-coupes qui coupent bien, d'armes de gros calibre, de cutters, battes de base-ball, pieds de micros et chiens d'attaque.
Au début, on se demande un peu comment le film va pouvoir tenir sur son argument de ticket de métro, et une situation qui semble bloquée - surtout du côté des jeunes qui ont à peu près zéro chance de survie. Mais Saulnier trouve toujours de nouvelles idées, de nouvelles combinaisons, des rebondissements qui permettent à tout ça d'avancer tranquillement vers un final cynique et noir. D'autant que c'est concentrée en à peine un peu plus d'une heure trente, ce qui est parfait dans le cas présent. Aboutissant à une petite bombe totalement réjouissante. Pas à mettre sous tous les yeux (la plupart des meurtres, agressions et mutilations font très très mal)

à noter aussi que les acteurs sont très bien, avec un avantage évident à Patrick Stewart (bien loin de Charles Xavier !) qui se délecte dans le rôle du gros méchant facho en chef. Face à lui et ses sbires, Anton Yelchin (jeune acteur décidément très intéressant dans ses choix - voire par exemple le dernier Joe Dante, Burying the Ex) et Imogen Poots assurent comme il faut, que ce soit au niveau de leur jeu ou de leur investissement physique.

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Vu Vendeur, avec un Melki assez énorme, et Pio Marmaï toujours mon chouchou. Dommage que le scénario soit pas toujours parfait, mais c'est plutôt bon

Phil


Admin

Haha, quand j'ai vu la ba, me suis dit que tu louperais pas ça ! Laughing

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

'tain, qu'est-ce qu'il faut pas lire dans Télérama, comme toujours gaga devant le dernier Woody : "Récemment, Blue Jasmine rivalisait avec le brio de Joseph L. Mankiewicz. L'Homme Irrationnel avec le cynisme de Billy Wilder". Rien que ça...
Du coup, quand ils comparent le dernier à du Lubitsch, je m'attends à une belle daube !

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 Affiche-money-monster-film-julia-roberts-george-clooney

(MONEY MONSTER de Jodie Foster)

Présenté en sélection officielle (mais hors compétition) à Cannes, le dernier film en date réalisé par Jodie Foster, avec son casting prestigieux promettant une belle montée des marches (elle a bien eu lieu) n'est pas une gros film d'auteur prestigieux et intello pour critiques de la Croisette.
C'est "juste" un solide film comme savent le faire les américains, et c'est tant mieux comme ça ! Efficace et carré, le film balance un joli suspense, et tient constamment en haleine - après un début un peu longuet (mais à peine). On marche à fond tout au long du film, et la plupart des retournements, des scènes de suspense et des articulations de l'histoire sont bien foutus et accrochent comme il faut. Et comme ça dure tout juste 1h35, ça passe tout seul.
On peut ajouter à ça des acteurs qui assurent parfaitement, dans des partitions qu'ils connaissent par coeur (Djordje, Djoulia... ou Dominic West dans un rôle finalement très proche de The Affair !) ou pas (le jeune Jack O'Connel, très bien).

Il y a juste un truc très dommage : en mettant finalement tout sur le dos d'un "gros méchant", le film n'attaque finalement jamais dans le fond les dérives de la finance, le trading à hautes fréquences, les responsabilités dans la crise économiques, etc. Voir par exemple la scène du programmeur coréen expliquant que "le problème, c'est pas le programme informatique (qui gère le trading HF"... Ben si, justement !
Sur le moment, un pur petit plaisir de cinéma qui fait du bien par où il passe... à conserver tel quel, sans y réfléchir plus avant après coup !

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Phil a écrit:Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 Affiche-money-monster-film-julia-roberts-george-clooney

(MONEY MONSTER de Jodie Foster)

Présenté en sélection officielle (mais hors compétition) à Cannes, le dernier film en date réalisé par Jodie Foster, avec son casting prestigieux promettant une belle montée des marches (elle a bien eu lieu) n'est pas une gros film d'auteur prestigieux et intello pour critiques de la Croisette.
C'est "juste" un solide film comme savent le faire les américains, et c'est tant mieux comme ça ! Efficace et carré, le film balance un joli suspense, et tient constamment en haleine - après un début un peu longuet (mais à peine). On marche à fond tout au long du film, et la plupart des retournements, des scènes de suspense et des articulations de l'histoire sont bien foutus et accrochent comme il faut. Et comme ça dure tout juste 1h35, ça passe tout seul.
On peut ajouter à ça des acteurs qui assurent parfaitement, dans des partitions qu'ils connaissent par coeur (Djordje, Djoulia... ou Dominic West dans un rôle finalement très proche de The Affair !) ou pas (le jeune Jack O'Connel, très bien).

Il y a juste un truc très dommage : en mettant finalement tout sur le dos d'un "gros méchant", le film n'attaque finalement jamais dans le fond les dérives de la finance, le trading à hautes fréquences, les responsabilités dans la crise économiques, etc. Voir par exemple la scène du programmeur coréen expliquant que "le problème, c'est pas le programme informatique (qui gère le trading HF"... Ben si, justement !
Sur le moment, un pur petit plaisir de cinéma qui fait du bien par où il passe... à conserver tel quel, sans y réfléchir plus avant après coup !


Tout pareil. Jodie Foster, c'est quand même la reine du film académique, rien ne dépasse, j’attends quand même un peu plus d'originalité

Phil


Admin

Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 The-witch-poster

THE WITCH est un premier film signé Robert Eggers, avec des inconnus au générique et un budget qui doit correspondre à la moitié des croissants d'une production Marvel (qui sortira en salles le 16 juin). Présenté dans plusieurs festivals, récompensé d'un prix à Gerardmer, il a déjà fait pas mal parler de lui dans la communauté fantasticophile - jusqu'à se tailler une réputation de "It Follows de l'année 2016". Bon, ce n'est pas aussi bien que le film de Mitchell... mais c'est en effet une curiosité étonnante, un OVNI cinématographique à mi-chemin entre Shyamou et Blair Witch; un peu bancal mais qui mérite le coup d'oeil !

Comme son sobre titre l'indique, il s'agit d'une histoire de sorcière, inspirée dans l'idée de l'affaire des Sorcières de Salem, mais dérivant tout de suite vers la fiction.
En Nouvelle Angleterre au XVIIème siècle, une famille puritaine et rigoriste (le père, la mère et leurs cinq enfants - dont un bébé) est chassée de son village et s'en va vivre isolée dans la forêt. Un jour, le bébé disparaît mystérieusement, alors que la plus grande des filles jouait avec lui en lisière de la forêt. Suite à ça, ce sont d'autres phénomènes étranges qui se multiplient : l'aîné des garçons rencontre une sorcière dans la forêt et revient comme possédé chez lui, les jeunes jumeaux jouent et discutent avec le bouc noir de la famille... Et les parents (principalement la mère, hystérique) soupçonnent leur fille, à l'aube de devenir une femme, d'être possédée et d'entraîner sur eux le mauvais oeil.

C'est du fantastique sobre, qui se préoccupe plus de créer une atmosphère et de provoquer l'angoisse chez le spectateur que de le faire sursauter avec des effets faciles. Même s'il y a quelques séquences chocs assénées de temps en temps (dont une très tôt dans le film, histoire de bien montrer que ça rigole pas). Du coup, ça peut être un peu chiant par moments; il est possible de ne pas se faire prendre par le film et de rester un peu à l'extérieur. Pour ma part, ça a plutôt bien fonctionné (malgré quelques moments d'ennui, il est vrai). Eggers sait créer une ambiance sombre et malsaine, distiller les éléments de l'histoire sur des petits détails précis, faire monter la tension. C'est un peu longuet, mais lorsque le dernier tiers survient et que tout s'accélère, ça devient assez puissant. Jusqu'à un final saisissant, qui laisse avec plein d'interrogations (dans le bon sens) et l'impression d'avoir vu un truc vraiment bizarre et sortant de l'ordinaire.

Qu'on s'y emmerde ou non, les qualités visuelles du film sont indéniables. La photo, jouant pourtant sur une image terne, est superbe (ce qui la rend d'autant plus saisissante !). Tout comme la reconstitution de l'époque sur un petit lopin de terre, à coup de décors, accessoires et costumes inspirés de la peinture classique. Itou pour la musique signée Mark Korven.
Et les acteurs sont excellents - même les gosses. Enfin, surtout celui qui joue Caleb, les jumeaux n'ont pas grand-chose à faire; et je ne considère pas la jeune Anya Taylor-Joy, géniale, comme une enfant.

Même loin d'être parfait, The Witch montre qu'on peut encore faire du bon cinéma d'horreur en 2016, et que le recyclage de vieilles recettes ne condamne pas forcément à l'ironie ou à l'auto-réflexion sur le genre. Ouf !

https://thexphil.forumactif.org

Cbyt



Rapido films - Ze quick critix volioume tri - Page 34 221143

ALICE DE L'AUTRE COTE DU MIROIR de James Bobin

Si Burton reste à la production, il abandonne écriture et mise en scène dans cette suite des aventures de Lewis Caroll. Bobin conserve bien entendu les personnages créés par Burton et son univers baroque, y a du rythme, visuellement c'est toujours réussi mais il manque quelque chose. Quoi, je ne sais pas, mais c'est pas le truc magique dans lequel on voudrait se vautrer avec délectation. On notera quand même les très belles performances de Helena Bonham Carter et Sacha Baron Cohen.

Phil


Admin

Mouais.
Déjà pas fan du premier, je vais rester sur ma non-envie de voir ce second volet !
(où ça attendra le DVD avec les mioches)

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Pareil pour moi

Cyrille



Les gens qui ont été scandalisé par la fait que Julieta de Almodovar n'ait rien eu à Cannes n'ont jamais vu un film de cinéma !

C'est faineant, c'est poussif, et la maestria technique d'Almodovar n'arrive pas à rattraper un scenario qui prend l'eau de toute part

Cbyt



Cbyt a écrit:

ALICE DE L'AUTRE COTE DU MIROIR de James Bobin

Si Burton reste à la production, il abandonne écriture et mise en scène dans cette suite des aventures de Lewis Caroll. Bobin conserve bien entendu les personnages créés par Burton et son univers baroque, y a du rythme, visuellement c'est toujours réussi mais il manque quelque chose. Quoi, je ne sais pas, mais c'est pas le truc magique dans lequel on voudrait se vautrer avec délectation. On notera quand même les très belles performances de Helena Bonham Carter et Sacha Baron Cohen.
Hasard du calendrier ou pas, j'ai pu revoir le Alice de Burton. C'est mieux, pas exceptionnel mais mieux. Sûrement par le côté "dark" qui imprègne tout le film et qui est beaucoup moins présent dans la suite.

Cbyt



Quand Duncan Jones adapte son jeu préféré, ça donne WARCRAFT. Fidèle au jeu de Blizzard et à son univers Fantasy inspiré directement de Tolkien, le fils Bowie livre une belle partition, peut-être un peu trop orientée vers les fans mais peu importe, c'est à mes yeux c'est réussi. Reste à savoir si les résultats du box office seront suffisants pour pouvoir espérer une suite.

Phil


Admin

Le dernier Pedro, j'y ai jamais cru; si même Cyrille en dit du mal...
Warcraft, j'y ai jamais cru non plus... mais tout leonde en dit du bien ! Je verrai ça en DVD. Ou pendant un match de l'équipe de France à l'euro Smile
(va falloir faire vite, pendant la phase élinatoire)

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Le Cercle disait sur Alice la suite que c'était le naufrage en direct de Johnny Deep. Je le sens bien comme ça.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 34 sur 40]

Aller à la page : Précédent  1 ... 18 ... 33, 34, 35 ... 40  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum