Vu hier (toujours avec Cyrillou) la nouvelle version du CRIME DE L'ORIENT-EXPRESS signé Kenneth Brannagh (qui s'est aussi attribué le rôle de Hercule Poirot).
Bof...
En fait, j'ai passé le film à me dire : "ouais, ok... et alors ?" - et je suis pas le seul, vu notre discussion en sortant de la salle. Parce que Brannagh n'apporte rien de nouveau à l'histoire, ne trouve pas d'angle inédit pour l'aborder (il y a de fortes chances qu'il ne l'ait tout simplement pas cherché !), ne pose aucun regard neuf sur le truc. On a donc constamment l'impression de regarder un film qu'on a déjà vu, sur une histoire qu'on a déjà lue - exactement pareil qu'avant. Sans compter qu'on s'ennuie poliment (alors que ça ne dure pas très longtemps).
Si, il y a bien quelque-chose qui ne vient pas de chez Agatha Christie (ou Sydney Lumet, réalisateur du classique des années 70) : le côté obsessionnel compulsif de Poirot. Manque de bol, ça vient tout droit de la série Sherlock avec Cumberbatch ! On voit bien le brainstroming de la prod : "dis, toto, ça marche bien le truc, dans la série, là; tu vas me faire la même chose". Sauf que, pour le coup, ça tombe comme un cheveu dans la soupe. Pire : les trois quarts des déductions de Poirot dans le film, il les sort de son slip ! On est bien loin de la logique carrée de l'histoire de base (et ses adaptations précédentes).
Au moins, c'est beau visuellement, et les acteurs et actrices sont bons...
Bof...
En fait, j'ai passé le film à me dire : "ouais, ok... et alors ?" - et je suis pas le seul, vu notre discussion en sortant de la salle. Parce que Brannagh n'apporte rien de nouveau à l'histoire, ne trouve pas d'angle inédit pour l'aborder (il y a de fortes chances qu'il ne l'ait tout simplement pas cherché !), ne pose aucun regard neuf sur le truc. On a donc constamment l'impression de regarder un film qu'on a déjà vu, sur une histoire qu'on a déjà lue - exactement pareil qu'avant. Sans compter qu'on s'ennuie poliment (alors que ça ne dure pas très longtemps).
Si, il y a bien quelque-chose qui ne vient pas de chez Agatha Christie (ou Sydney Lumet, réalisateur du classique des années 70) : le côté obsessionnel compulsif de Poirot. Manque de bol, ça vient tout droit de la série Sherlock avec Cumberbatch ! On voit bien le brainstroming de la prod : "dis, toto, ça marche bien le truc, dans la série, là; tu vas me faire la même chose". Sauf que, pour le coup, ça tombe comme un cheveu dans la soupe. Pire : les trois quarts des déductions de Poirot dans le film, il les sort de son slip ! On est bien loin de la logique carrée de l'histoire de base (et ses adaptations précédentes).
Au moins, c'est beau visuellement, et les acteurs et actrices sont bons...