Rapido films - Ze quick critix 4x4

Mouarf.
Vu que le film me tente uniquement pour la plastique de Jessica, je me contenterai de mater des photos sur le net !

3 films "étrangers hors US" vus sur Netflix récemment.

L'espagnol FROID MORTEL de Lluis Quillez, avec le toujours excellent Javier Guitierrez. Polar éhigh concept" bien brutal et assez violent : l'histoire d'un convoi de prisonniers au milieu d'une tempête de neige, qui tourne mal lorsque le camion est immosbilisé et que l'assaillant exige la libération d'un des détenus. Entre le huis-clos tendu dans l'espace très réduit du camion-prison et le film d'assaut, l'intrigue est très bien menée, jusqu'à un final en forme de twist qui donne une nouvelle dimensions aux personnages et à l'histoire.

De twist, il est aussi question dans le suédois CIBLES MOUVANTES d'Alain Darborg; de neige aussi, d'ailleurs. Pendant les trois quarts du film, on a affaire à un survival classique ou un couple "mixte" affronte une bande de bouseux racistes dans l'environnement hostile du nord du pays. Du bon survival, là-aussi bien brutal, avec de bonnes scènes de suspense bien menées. Et, dans le dernier quart, survient le retournement, qui amène à totalement remettre en question ce qu'on vient de voir, et regarder l'histoire sous un autre angle.

2 bons films, pas exceptionnels dans les 2 cas, mais très sympas et bien foutus.

Ce qui n'est pas le cas du dernier, l'anime japonais LOIN DE MOI, PRES DE TOI, que j'ai trouvé assez naze. Pour le coup, ce n'est pas le cas des enfants, les "petits" avec lesquels je l'ai vu, et les plus grands qui m'en ont dit du bien. ça doit être une question de "cible"; sachant que je ne suis pas une ado de 16 ans et que je n'aime pas les chats, cette histoire d'ado de 16 ans aux problèmes de son âge, qui se transforme en chat, forcément...
Tout ça pour dire que bof; ça ressemble un peu trop à du Ghibli light ou à du Makoto Shinkaï au rabais, bien en dessous, même, des films d'autres studios qu'on a pu voir récemment.

Généralement déçu par la production de films sur Netflix, il y en a quand même 2 qui sortent du lot dernièrement. MOSUL, film de guerre assez violent sur un escadron anti-Daesh en Irak et I CARE A LOT avec la brillante Rosamund Pike dans une comédie criminelle pas toujours crédible mais très séduisante.

Le film avec Rosamund est prévu - dans ma liste...
(même si ca va être moins bien que Gone Girl)

Après le mook Dune, après avoir relu Dune en édition anniversaire de luxe, avant la nouvelle version de Villeneuve (on sait pas quand, on sait pas où), j'ai eu envie de me refaire le Dune de David Lynch, que j'avais pas revu depuis au moins 25 ans (voire plus).

Un film compliqué, décrié, moqué... avec lequel j'ai toujours eu une relation un peu spéciale. Déjà, je dois dire que je déteste pas le film. D'ailleurs, la première fois que je l'ai vu à la fin des années 80 avec mes potes, je l'ai même plutôt aimé - et on l'a longtemps défendu.

Le revoir maintenant ne fait pas un bien fou au film, c'est clair. C'est toujours pas très bien, plein de trucs foireux; et il ne faut pas trop comparer avec le bouquin (même si c'est pas une adaptation honteuse, qui dénature l'oeuvre ou quoi, c'est pas une merveille de transposition du papier à l'écran). Les effets spéciaux piquent souvent les yeux - incroyable pour un film qui avait coûté si cher à l'époque. Tous les acteurs ne sont pas top, même si c'est globalement d'un bon niveau.

Mais... eh ben je trouve toujours le film pas si mal ! Visuellement, ça a une sacrée gueule, l'univers du livre est bien retranscrit; et on pourrait même penser que pas mal de trucs du projet de Jodorowsky ont finalement été repris. Je pense toujours même que le Jodo aurait sûrement été un gros kougloff bien pire que ça, finalement.
Et l'apport de David Lynch me semble aussi fondamental. C'est clairement un film de SF qui ne ressemble en rien à la SF de l'époque (même après), surtout par la vision du réalisateur. Le sens du bizarre de Lynch, ses obsessions décalées, ressortent totalement dans le projet. On rêve d'ailleurs de ce que Lynch, ou l'autre David, Cronenberg, auraient donné sur un projet comme Le Retour du Jedi, comme c'était prévu à un moment (avant que gros George ne retrouve sa lucidité !).

Non, vraiment, un film qui vaut bien mieux que sa réputation.
Tout en n'étant pas génial non plus.

Le film a été beaucoup décrié, a commencé par David Lynch qui a perdu le final cut. Je ne sais pas si il aurait été tant différent mais bon ... on peut pas dire que ça sert la promotion.
Après, certes c'est imparfait et l'oeuvre est tellement complexe, chacun se créant son propre univers en la lisant qu'une retranscription à l'écran semble quasi impossible mais en attendant, j'ai toujours bien aimé le film (avec tous ses défauts) qui réussi à capter une bonne partie de l'essence du bouquin et pour ma part beaucoup plus réussi que l'adaptation TV sortie en 2000 et que j'avais trouvé très plate.

Reste à voir si Villeneuve arrivera à tirer quelque chose de tout ça ...

L'adaptation télé est moins flamboyante, clairement. Après, son aspect plus sage permet d'éviter les débordements ; et c'est plus fidèle au livre.
Peut-être que Villeneuve arrivera à concilier tout ce qui est bien dans les 2, et se séparer du naze !

C'est plus chiant que fidèle et malgré les 4h30, ça raconte pas grand chose... dans mon souvenir c'est hyper verbeux

Cbyt a écrit:I CARE A LOT avec la brillante Rosamund Pike dans une comédie criminelle pas toujours crédible mais très séduisante.

Vu, et en effet c'est plutôt sympa.
Comme toujours sur Netflix, un peu trop long. Et ça hésite trop sur le ton à adopter, du coup c'est un peu suspense mais pas assez, un peu mordant mais pas assez, un peu drôle mais pas assez. Rosamund Pike est terrible, en effet; rejouant en gros son rôle de Gone Girl (qui est évidemment mieux).

Vu aussi, mais ailleurs (Amazon Prime), et plus réussi à mon avis, PALM SPRING est une sorte de Un Jour sans Fin mélangé à une comédie romantique. Dans laquelle Andy Samberg et Cristin Miliotti (géniale et waouh !) se tournent autour dans une boucle temporelle. Drôle, charmant, astucieux, le film est particulièrement réussi. ac

Je me le note

Assez déçu par Tout simplement noir

Heureusement qu'Eric Judor déploie un gag vraiment hilarant pour sauver le film, sinon, ce sont de micro moments de gags, toujours sur le même ressort... Pour tout dire, ça a été assez douloureux.

Pas du tout ma came.

Pour le coup j'ai bien aimé. Le mode documentaire freine un peu l'exercice. Mais ça m'a bien fait rire et puis un peu de rupture avec le faux politiquement correct fait du bien de temps en temps.

Vu hier soir le dernier film de Chadwick Boseman (très marqué par sa maladie) sur Netflix. Si ce Le Blues de Ma Rainey n'est pas un chef d'oeuvre inoubliable, il marque quand même une belle prestation de feu Chadwick dans un registre dans lequel il était hélas pas très (re)connu.

Encore 2 nouveautés Netfloutch vues en quelques jours :

THUNDER FORCE - une parodie de films de super-héros avec Melissa MacCarthy, réalisée par son mari Ben Falcone, et produite par les deux. Autant dire que, même si elle y forme un duo avec Octavia Spencer, c'est un festival autour de l'actrice. Moi, je l'aime bien, donc ça va; mais ça peut vite agacer. On est donc dans la grosse comédie américaine pas finaude, qui plus est dans u registre qui a déjà donné pas mal de trucs (et le film ne se révèle pas particulièrement original). C'est par moments assez marrant, pas désagréable... mais bof.

LOVE AND MONSTERS est plus intéressant. Construit autour de l'acteur Young Adult Dylan O'Brien (la "star" de la saga Le Labyrinthe, dont j'ai regardé le premier d'un oeil distrait récemment, et qui m'en a touché une sans faire bouger l'autre - notamment lors d'une explication complètement foireuse), le film parvient à s'affranchir de ses carcans pour pouvoir plaisre à tous les publics. Ici, autant Melvil (7 ans) que moi ont apprécié - même si moins que l'ado-fille de 13 ans qui est clairement la cible. Sur des schémas très classiques là aussi, sans grande originalité; mais le film parvient à trouver de bons angles pour aborder des thèmes vus et revus. De grosses bébêtes bien dégueus et un humour bon enfant bien amené font passer un bon moment.

CONCRETE COWBOY (sur Netflix) - tiré d'une histoire vraie pas le film du siècle mais qui vaut au moins le détour pour la prestation d'Idriss Elba et une histoire peu commune.

J'ai pas vu les autres films en course pour les Oscars, mais la récompense pour Daniel Kaluuya (même si la catégorie second rôle est un peu étrange). Sa partition dans JUDAS AND THE BLACK MESSIAH est parfaite. 
Le film l'est un peu moins.

Phil a écrit:LOVE AND MONSTERS est plus intéressant. Construit autour de l'acteur Young Adult Dylan O'Brien (la "star" de la saga Le Labyrinthe, dont j'ai regardé le premier d'un oeil distrait récemment, et qui m'en a touché une sans faire bouger l'autre - notamment lors d'une explication complètement foireuse), le film parvient à s'affranchir de ses carcans pour pouvoir plaisre à tous les publics. Ici, autant Melvil (7 ans) que moi ont apprécié - même si moins que l'ado-fille de 13 ans qui est clairement la cible. Sur des schémas très classiques là aussi, sans grande originalité; mais le film parvient à trouver de bons angles pour aborder des thèmes vus et revus. De grosses bébêtes bien dégueus et un humour bon enfant bien amené font passer un bon moment.

Je vais pas complètement boudé mon plaisir puisque le film est bien foutu visuellement et sympa à regarder ... mais car il y a souvent un mais, il serait bien que de temps en temps Netflix trouve des approches originales au lieu de pomper ce qui a bien marché. La trame et les ressorts de l'intrigue c'est quasiment du copier-coller de Zombieland en changeant les monstres.
Ils avaient déjà fait le coup avec The Silence et Bird Box qui ressemblaient déjà étrangement à Sans un bruit, cette fois-ci en changeant les sens.
Oui au final, le résultat est plutôt pas mal mais on se plaint des studios qui par fainéantise et/ou appât du gain préfèrent s'engouffrer dans des sagas et suites sans fin pour tomber sur une plateforme qui peut s'affranchir facilement de ses limites mais qui se contentent de pomper les quelques histoires originales qui ont cartonné au box office.

Netflix continue de cultiver un paradoxe complètement incompréhensible à mon sens, à savoir sortir à la pelle des séries de qualité et pas foutu de sortir un film très bien. Si quelqu'un a une explication ...

Attends le prochain Zack Snyder, mwahahaha !

2 films Netflix récents, de qualité carrément opposée :

Vais pas m'étendre sur Yes Day, comédie bateau avec Jennifer Garner (plutôt bien ici) sur les relations parents/enfants, la famille et gnagnagna. Quelques gags surnagent, mais l'ensemble est à la fois médiocre et archi vu et revu.

La famille, c'est aussi un des thèmes de LES MITCHELL CONTRE LES MACHINES, film d'animation qui devait normalement sortir au cinéma sous le titre Déconnectés, et qui se retrouve finalement sur le réseau de streaming. Produit par Phil Lord et Chris Miller, le film se rapproche carrément de leur précédent opus La Grande Aventure Légo. C'est du gros délire bien barré, très "second degré", et bourré d'action. Je n'en dis pas plus, si ce n'est que ça vaut vraiment le coup d'oeil; et qu'ici, ça a emballé tout le monde, de tous âges et de tous goûts.
Encore un truc qu'on aurait bien aimé découvrir plutôt au cinéma !

Pas vraiment convaincu par le PASSAGER N°4 sur Netflix, encore une histoire d'oxygène après le film d'Aja (par pur hasard, j'ai vu les 2 le même soir) qui se ballade entre Gravity et Alien.
Si la première moitié est intéressante, Joe Penna faisant monter doucement mais sûrement la tension, ça plafonne assez rapidement sans jamais reprendre de la hauteur. A vouloir trop jouer avec le spectateur, il se prend un peu les pieds dans le tapis avec une fin certes inattendue mais pas très palpitante.

202 jours après la seconde vision de Adieu les Cons et le fermeture des cinémas, retour en salle hier, donc !
Pour trois films pas géniaux, pas indispensables, mais pas nazes non plus. En tout cas, des trucs plus satisfaisants que lors de la première reprise après le premier confinement en juin 2020

MANDIBULES de Quentin Dupieux
Du pur Dupieux - je dirais pas "sans surprise" vu le style du bonhomme, mais le fil moffre exactement ce à quoi on s'attendait. à part peut-être pour le personnage joué par Adèle Exarchopoulos, qui apparaît comme comique dans la bande-annonce, mais s'avère le pivot dramatique du film. On est complètement plongé dans l'univers "à la Alice" où Dupieux pousse la logique de l'absurde jusqu'au bout. C'est drôle, bien barré et bizarre... Mais aussi balourd par moments, et trop long alors que ça dure seulement 1h17. Les gars du Palmashow sont vachement bien (on le savait, mais ils le prouvent encore, dans un registre un peu différent de leurs pitreries habituelles).

FALLING de Viggo Mortensen
Premier film d'Aragorn en tant que réalisateur... et il s'en sort plutôt bien. Il faut dire qu'il a été à bonne école avec les noms prestigieux pour qui il a joué. Notamment Cronenberg, qui a fait office de mentor et s'offre ici une petite apparition réjouissante (à comparer avec le court rôle qu'il s'était donné dans La Mouche). Le film est un pur drame classique "à l'américaine", visiblement très personnel pour Viggo, qui l'a écrit et coproduit en plus de le réaliser et y jouer. L'opposition entre le vieux père réac et le fils californien/homo/démocrate/super-open est parfois appuyée dans son discours - mais l'ensemble fonctionne. Porté par des acteurs en état de grâce, surtout un Lance Henriksen totalement déchaîné en papy vulgaire et connard au dernier degré.

LE DERNIER VOYAGE de Romain Quirot
Une petite série B de SF sortie de nulle part, qui bouffe à tous les ratelliers (Mad Max, Armageddon...), est pleine de petits défauts (d'écriture, notamment)... mais s'avère plutôt sympathique. J'ai toujours envie de défendre ce genre de tentative de chez nous - à partir du moment où ce n'est pas de la merde racoleuse à la Besson. Là, on pense pas mal à l'ambiance et l'univers des romans de la collection Anticipation et des rares films de SF français des années 70 et 80. Les acteurs sont plutôt bons, sauf Jean Reno, toujours aussi nul (vu qu'on parlait de Besson...). Visuellement, ça a de la gueule, même si le budget moyen se ressent par moments; mais c'est typiquement le genre de projet où des personnes ultra impliquées se débrouillent pour livrer leur vision malgré tous les problèmes.
(ça m'a pas mal fait penser au récent Arès, qu'on a défendu par ici - c'est moins bien, mais l'esprit est le même)

Deux animés japonais vus au ciné, en complément des films du jour de la sortie : DEMON SLAYER - LE TRAIN DE L'INFINI et DETECTIVE CONAN - THE SCARLET BULLET. Dans les deux cas, j'ai à peu près rien compris au film ! Pour Demon Slayer, c'est plus parce que je ne maîtrise pas le manga et l'anime de base. Pour Conan, c'est plus compliqué : le film a vraiment plein de problèmes narratifs, et demande trop à la suspension d'incrédulité du spectateur. Le premier est finalement assez sympa, avec de bonnes bastons. Le second rigolo 5 minutes, rappelle l'ambiance des dessins-animés japonais de Récré A2 et du Club Dorothée; mais est bien trop poussif.

Autre film vu au cinéma lors de cette reprise, et autre film d'animation (enfin, mélangeant animation et live) - cette fois en famille avec les mioches : TOM ET JERRY - LE FILM de Tim Story. Comme souvent lorsqu'on rallonge un format court sur 1h30, il y a 10 minutes de "vrai" Tom et Jerry - le chat et la souris qui se coursent et ont recours à des plans terribles pour se foutre sur la gueule. Et 1h20 de remplissage à base de comédie romantique pathétique.
Assez naze.

Pour terminer cette période pas top - et maintenant, faut arrêter de déconner, vais recommencer à voir des bons trucs ! - ARMY OF THE DEAD de Zack Snyder, sur Netflix... qui était plutôt moins pire que ce à quoi je m'attendais ! C'est évidemment très con, bourrin, beaucoup trop long (2h30), apparenté à un juke-box géant; et ça gâche la plupart de ses bonnes idées (les zombies civilisés et reconstitués en société, le tigre mort-vivant, Las Vegas confiné, le casse au milieu des morts...). Mais à part ça (oui, ça fait quand même beaucoup), c'est souvent marrant (le générique bute bien, malheureusement sur une musique de merde), il y a quelques scènes d'action qui dépotent, et des effets gores bien dégueus. C'est donc juste relativement naze; ce qui en fait un des meilleurs film de Snyder, finalement (mais beaucoup moins bien que son remake de Dawn of the Dead) !

Vu le Snyder hier. Clairement depuis qu'il a arrêté le cinéma, il a un problème avec le montage puisqu'il enchaîne un film de 4h puis un de 2h30 ... et c'est dommage car il y a plein de bonnes idées, lui qui a tendance à faire couler des litres de sang, c'est presque "soft" mais super bien fait (le gars qui se fait sucer la tête par le tigre) mais à vouloir tout mettre dans un seul film, ça part un peu en couille.
Et même si il reprend des idées déjà vu ailleurs, c'était plutôt bien intégré (New York 1997, le masque de Phantom of Paradise, Ocean 11, ...). 
Etant à l'écriture, à la caméra, à la photo et sûrement pas loin de la console de montage ... on peut pas dire qu'il ait beaucoup écouté les conseils des autres.
Mais globalement ça se regarde plutôt bien (faut pas oublier que je suis toujours TWD   )



Sinon il faudrait peut-être arrêter de prendre des catcheurs comme acteurs. On y croyait déjà pas quand ils étaient sur un ring donc devant la caméra ...

Ouais, le tigre zombie, c'est le seul truc du film que j'ai montré à mon fils... mais pas la scène où il bouffe la gueule du mec (il est déjà assez violent comme ça, le gamin) !
Sinon, y'a une logique pour les catcheurs - vu que le catch, c'est plus du cinéma que du sport (et encore moins du sport de combat)... Et pourtant, en effet, ça marche moyen

C'est une théorie ...