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Le cinéma est plus harmonieux que la vie, il n'y a pas d'embouteillages dans les films. Les films sont comme des trains qui filent dans la nuit (François Truffaut)

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Cbyt



Phil a écrit:Contrairement à la déception juste au-dessus, le second film de l'espagnol Rodrigo Sogoroyen vaut largement le coup, lui ! Et confirme les espoirs placés sur le réalisateur au moment de l'excellent Que Dios nos perdonne (même si c'est un peu moins bien ici).

Avec EL REINO, on reste dans le thriller et le suspense, en plongeant encore plus du côté de la politique et moins dans le polar pur. On y suit un député (formidable Antonio de la Torre, définitivement un des meilleurs acteurs espagnols (mais pas que) actuels) pris dans une sombre histoire de corruption, qui doit se débrouiller pour sortir du sac de noeuds dans lequel il s'est lui-même fourré. Et quand je dis "on suit", c'est exactement ça : pendant 2h10, la caméra lui colle au basques, de très près, suit tous ses agissements, ne le lâche pas d'une semelle. Un véritable exercice de mise en scène - les idées trouvées par Sogoroyen à la fois pour dynamiser l'action et pour transcrire les événements, sont sans cesse renouvelées et originales. 

Au service d'un scénario solide et intelligent. D'un côté, le film reste très général, ne nomme pas un parti ou des personalités clairement identifiés; ce qui lui permet d'être universel, de dénoncer un système politique et financier global, plutôt que de se concentrer sur un seul point. De l'autre, le personnage de Manuel Lopez Vidal est captivant, en ce sens qu'il n'est pas un héros typique qui va connaître un arc de rédemption basique. C'est au contraire un enfoiré, plein de défauts (mais pas seulement), qui échoue souvent dans sa quête de vérité, dont le but même n'est pas de faire éclater la justice, mais de se blanchir, ou à défaut de faire tomber tous ses complices en même temps que lui. Le film aboutit alors à une fin en suspens, qui peut être frustrante d'un point de vue narratif, mais conclut logiquement cette histoire d'un point de vue thématique. Sans compter que cette fin vient dans une dernière demi-heure qui multiplie les séquences enthousiasmantes de haute volée (la discussion sur le balcon / la fuite / l'intrusion dans la maison du député / la station-service / la poursuite envoiture / l'émission télé - ouch, quelle séquence !)

Dans un pays où les récompenses veulent dire quelque-chose, plus que nos Césars et les Oscars américains, le film a remporté une tripotée de trophées aux dernier Goyas espagnols (dont "Meilleur ffilm", "Meilleur réalisateur", "Meilleur acteur"...). C'est amplement mérité, et si ça permet de faire la lumière sur ce superbe film à ne pas louper, tant mieux !
A peu près tout est dit. Très très bien !

Cbyt



Phil a écrit:Je m'y attendais un peu, et c'est maintenant prouvé : RAMBO - LAST BLOOD, c'est vraiment de la grosse merde ! 
(...)
De la grosse merde, j'vous dis !
Je ne sais pas si il y aura un Rambo - Very last blood mais je crois que c'est une des rares franchises qui arrive à faire 10 fois pire à chaque film !
Heureusement, ça ne dure qu'une heure 30.

Phil


Admin

Cbyt a écrit:
Phil a écrit:Contrairement à la déception juste au-dessus, le second film de l'espagnol Rodrigo Sogoroyen vaut largement le coup, lui ! Et confirme les espoirs placés sur le réalisateur au moment de l'excellent Que Dios nos perdonne (même si c'est un peu moins bien ici).

Avec EL REINO, on reste dans le thriller et le suspense, en plongeant encore plus du côté de la politique et moins dans le polar pur. On y suit un député (formidable Antonio de la Torre, définitivement un des meilleurs acteurs espagnols (mais pas que) actuels) pris dans une sombre histoire de corruption, qui doit se débrouiller pour sortir du sac de noeuds dans lequel il s'est lui-même fourré. Et quand je dis "on suit", c'est exactement ça : pendant 2h10, la caméra lui colle au basques, de très près, suit tous ses agissements, ne le lâche pas d'une semelle. Un véritable exercice de mise en scène - les idées trouvées par Sogoroyen à la fois pour dynamiser l'action et pour transcrire les événements, sont sans cesse renouvelées et originales. 

Au service d'un scénario solide et intelligent. D'un côté, le film reste très général, ne nomme pas un parti ou des personalités clairement identifiés; ce qui lui permet d'être universel, de dénoncer un système politique et financier global, plutôt que de se concentrer sur un seul point. De l'autre, le personnage de Manuel Lopez Vidal est captivant, en ce sens qu'il n'est pas un héros typique qui va connaître un arc de rédemption basique. C'est au contraire un enfoiré, plein de défauts (mais pas seulement), qui échoue souvent dans sa quête de vérité, dont le but même n'est pas de faire éclater la justice, mais de se blanchir, ou à défaut de faire tomber tous ses complices en même temps que lui. Le film aboutit alors à une fin en suspens, qui peut être frustrante d'un point de vue narratif, mais conclut logiquement cette histoire d'un point de vue thématique. Sans compter que cette fin vient dans une dernière demi-heure qui multiplie les séquences enthousiasmantes de haute volée (la discussion sur le balcon / la fuite / l'intrusion dans la maison du député / la station-service / la poursuite envoiture / l'émission télé - ouch, quelle séquence !)

Dans un pays où les récompenses veulent dire quelque-chose, plus que nos Césars et les Oscars américains, le film a remporté une tripotée de trophées aux dernier Goyas espagnols (dont "Meilleur ffilm", "Meilleur réalisateur", "Meilleur acteur"...). C'est amplement mérité, et si ça permet de faire la lumière sur ce superbe film à ne pas louper, tant mieux !
A peu près tout est dit. Très très bien !


Et j'ai vu son dernier film, Madre juste avant de partir; c'était mortel aussi (dans un autre genre) !
Pas sûr que je trouve l'occaze d'en parler, mais n'hésitez pas. Enfin, un jour où vous êtes en forme, hein.

https://thexphil.forumactif.org

Cbyt



J'attends surtout que le Gaumont à côté du boulot ré-ouvre. Etant en congés vendredi, je pense que tout ça attendra mon retour.

Cbyt



Cyrille a écrit:Je l'aurais bien remonté en 1h20. C'est pas mal mais un peu long
Moi en 5 min !

Cbyt



Phil a écrit:On a maté ce soir Love Itself, le film écrit et réalisé par Dan Fogelman, créateur de This is Us.
C'est pas compliqué : c'est un épisode de la série, concentré sur deux heures !
Fogelman a recours aux mêmes principes que dans sa série, aux mêmes types de personnages, aux mêmes thèmes. Il utilise aussi ici des procédés de narration comparables, en éclatant les époques et les personnages, tout en prenant toujours soin de maintenir les liens entre tous les éléments du film. Il ajoute aussi ici un petit côté Alejandro Inaritu des débuts; et un gimmick autour du narrateur faillible assez bien foutu.
Sans surprise, ça tire à fond sur les cordes du mélo; domaine que le gars maîtrise à fond, on le sait. (là, c'est même totalement bourrin dans le genre !)
Aidé en plus par un casting 12 étoiles (Oscar Isaac, Olivia Wilde, Antonio Banderas, Annette Benning, Mandy Patinkin...), le film a tout du rouleau-compresseur. Pas fin; mais encore une fois d'une redoutable efficacité.
Ça vient d'arriver sur Canal+ sans surcoût.
C'est assez bien résumé et malheureusement sans surprise ... sauf l'histoire du narrateur sans faille mais qui est très bien exploité pendant la première moitié du film, ça disparaît pour revenir à la toute fin avec la fille. Fin pas super top et trop bavarde (va falloir qu'il révise sa copie pour faire un truc mieux sur la série) Sinon tous les ingrédients de This is us sont là et c'est la principale limite du film, sur lequel Fogelman ne s'est pas vraiment foulé. Et c'est mon sentiment aussi sur la série qui depuis 2 saisons radote un peu avec toujours la même recette. Sinon cinéma ou TV, il ne sait toujours pas faire vieillir à l'écran ses personnages, certes c'est un détail mais il pourrait faire un effort quand même.
Sinon casting vraiment au top (ça fait plaisir de revoir Saul Berenson enfin à la retraite).

Cyrille



Sous le titre Seule la vie

Cyrille



D'ailleurs c'est Life Itself, pas love itself

si on parle du même film

Cyrille



Et j'ai tenu 10 mn

Phil


Admin

Cyrille a écrit:Portrait de la jeune fille en feu sur Canal, en haut de ma liste

Ce soir, j'espère


Cyrille a écrit:Je l'aurais bien remonté en 1h20. C'est pas mal mais un peu long


Cbyt a écrit:
Cyrille a écrit:Je l'aurais bien remonté en 1h20. C'est pas mal mais un peu long
Moi en 5 min !


Bon, vais pas faire dans la surenchère en misant sur 2 ou 3 minutes - je pense qu'on est globalement tous du même avis...
C'est très beau; plein de bonnes intentions et de bonnes idées.
Mais aussi très chiant (et compassé).

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

Je crois que j'avais jamais vu LE PRIX DU DANGER d'Yves Boisset - ou alors dans les années 80 aux Dossiers de l'écran ou autre Avenir du futur...
Vu ou revu, donc. Et c'est toujours vachement bien aujourd'hui, en fait - peut-être même encore plus d'actualité. Bien sûr, le film a vieilli visuellement, et le futur décrit en 1983 fait doucement rigoler. Et bien sûr, le film avance à coup de gros sabots dans sa démonstration - ce sont surtout certains dialogues bien appuyés qui paraissent lourdauds. Mais sa vision de la télé poubelle et d'une démocratie en déliquescence à l'abandon face aux plus vils travers humains, fait encore grincer des dents. Parce que ce n'est jamais qu'une extension, certes exagérée mais pas tant que ça, de notre société et de nos médias.
(et Piccoli survolté en faisant des giga caisses en clone hystérique de Guy Lux doté de l'idéologie d'un LREM, est ahurissant)

"Nous sommes à votre service pour vous offrir les émissions que vous voulez. Vous demandez plus de sang, plus de violence, et plus de carnage ? Eh bien nous vous en donnerons !"

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



Boisset, je suis assez fan (La femme flic reste un must pour moi)

Un ami m'avait dit qu'un roman de King paru sous son pseudo (oublié le titre) etait entièrement pompé sur Le prix du danger

Phil


Admin

Yep, Running man, qui a aussi été adapté au ciné dans les années 80.
Le Boisset est tiré d'un roman de Robert Sheckley. Qui avait fait un procès au film américain, ou à King, je sais plus. Ça s'était réglé à l'amiable, au moins entre les 2 auteurs. King avait d'ailleurs admis s'être inspiré de Sheckley pour son bouquin.

https://thexphil.forumactif.org

Cyrille



ok, merci Wikiphilia

Cbyt



King s'était inspiré de l'idée de départ du bouquin de Sheckley. Le film avait tout pompé sur Boisset.

Phil


Admin

Tout à fait !
Le film n'a pas grand-chose à voir avec le Bachmann/King, bien plus avec le Boisset...

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Phil


Admin

J'ai été totalement déboussolé par le nouveau Dupontel ADIEU LES CONS - à chaud, mon film de l'année 2020 (on me dira que c'est pas un exploit, en cette année pandémique), peut-être même mon Dupontel préféré; l'avenir le confirmera, ou non ! Et c'est pas peu dire, quand on sait à quel point j'adore Bernie t Le Créateur...
Gros soulagement aussi, après un Au Revoir Là-Haut où le réalisateur s'était un peu perdu, à mon avis, et donnait des gages au cinéma français "de qualité" (qui le lui a bien rendu aux Césars). Son film le moins personnel, donc, qui se retrouve finalement avec la sortie de ce petit dernier à la place restera probablement toujours la sienne : une parenthèse académique; un gros machin anecdotique perdu au milieu d'une filmo radicale.
Adieu les Cons reprend donc les choses là où 9 Mois Ferme les avait laissées. Soit de la comédie sociale frondeuse, avec de l'émotion et une touche de féminisme. Sauf que ce dernier film pousse tous les potard plus loin que jamais. Chez Dupontel, le rire est une forme de catharsis, pour ne pas hurler face à l'absurdité du monde et la connerie humaine. Le drame y est toujours en embuscade, pour relever la sauce. Là, on rit à gorge déployée, pour ne pas crever (extraordinaire Nicolas Marié, encore une fois). Et on y pleure comme une madeleine, saisi par l'émotion des personnages et la puissances des scènes. Jusqu'à une fin totalement folle et inattendue; qui laisse sur le cul.
Et Virgnie Effira est elle aussi encore une fois formidable.
Mortel.

https://thexphil.forumactif.org

Phil


Admin

Belle surprise aussi que DRUNK, le dernier film de Thomas Vinternerg.
Enfin, pas surpris par la qualité du film - on est habitué avec le réalisateur de Festen ou La Chasse (largement le danois le plus intéressant de la bande du dogme, et bien meilleur que LVT). Plutôt par le ton : moins que la noirceur de sa fête de famille célèbre, on est plus dans le doux-amer de la comédie dramatique. On rit beaucoup, il y a une certaine douceur et un attachement aux personnages...et une sorte de happy-end étonnant chez les réal !
Le quatuor d'acteurs menés par Mads Mikkelsen, et constitué d'habitués de la maison, est fabuleux (et la femme de Mads aussi).
Et le discours sur l'alcool bien plus profond qu'un spot de pub "celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas".

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Cbyt



Avec Borat Subsequent Moviefilm: Delivery of Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstan on cherche à comprendre ce que voulait faire Sacha Baron Cohen puisqu'il y a un sentiment de réchauffé de gags dont ils avaient déjà abusé par le passé, d'autant que sur certaines scènes, il est difficile de croire ce qu'on voit à l'écran tant ça paraît énorme et on penche plus facilement sur des subterfuges au montage - y compris dans la dernière (maintenant célèbre) séquence avec Giuliani où ça sent la manipulation à plein nez.

Il arrive quand même à sortir quelques gags très drôles et c'est Maria Bakalova qui tire ce qui reste du film (pas grand chose) vers le haut.
Bon, si jamais ça peut faire changer quelques bulletins de vote à la faveur de Biden, ce sera ça de gagner mais j'y crois pas beaucoup ...

Cbyt



Hier soir, c'était soirée Sacha Baron Cohen, puisque j'ai enchaîné sur Netflix avec Les 7 de Chicago de Aaron Sorkin, dans lequel il partage l'affiche avec une myriade d'acteurs tous très convaincants.
Tiré d'une histoire vraie, l'intrigue se déroule presque intégralement dans la salle du tribunal qui relate petit à petit les faits qui ont mené à l'émeute et sa répression très violente par la police et qui viennent s'intégrer en image dans le récit.

Très bien écrit avec un rythme d'enfer, on ne s'ennuie pas une seule seconde malgré les 2 heures 10 du film.

Phil


Admin

Je mate Borat 2 ce soir !
(en m'attendant a un truc pas terrible - ton avis en confirmant beaucoup d'autres)

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Phil


Admin

En effet, c'est assez étrange, ce Borat 2 (j'abandonne le titre à rallonge pou plus de facilité !)
Je n'ai pas de souvenirs assez précis de l'original, pas revu depuis longtemps. Je me rappelle quand même cette question de savoir constamment ce qui était vrai ou pas m'avait interpellé à l'époque (comme beaucoup de gens); mais que c'était suffisamment bien traité pour renforcer les messages du film. Là, on s'interroge constamment sur la part de réel et de fabriqué - et pendant ce temps là, on ne fait pas autre-chose. C'est en plus accentué par le fait qu'il y a une part assumée plus importante de fiction, avec l'histoire entre Borat et sa fille.
Et c'est globalement moins drôle, en effet. Même s'il y a encore des scènes à mourir de rire; par exemple la danse folklorique, ou la chanson country anti Obama.
Mais, comme on est pas à un paradoxe près, je me edemande aussi si cette "fictionalisation" ne rend pas le film encore plus efficace sur ce qu'il dit de l'Amérique d'aujourd'hui. Ce qui est clair, aussi, c'est que le pays (et le monde) a tellement basculé dans la caricature qu'il devient difficile (voire impossible) pour un gars comme Saha Baron Cohen de surpasser la réalité. Qu'est-ce qu'il peut faire de pire et de plus agressif que la politique et les discours réels de son pays ?
Bizarre, je vous dit...


Sinon, j'ai aussi vu hier au ciné Antoinette dans les Cévennes de Caroline Vignal. Comédie française plutôt marrante et bien menée; parfois même inattendue. Après, tout repose essentiellement sur la performance de Laure Calamy, de tous les plans. Si l'actrice trouve là le rôle qui va la propulser au premier plan du cinéma français, elle continue en fait de creuser son personnage lunaire et fantasque habituel (et très sexuel, aussi, dès le premier plan du film - ce qui fausse fortement mon jugement, je dois bien l'avouer Embarassed). En dehors d'elle, le film n'existe pas; c'est à la fois sa force et sa faiblesse. Non, il y a aussi l'âne Patrick, génial dans le premier rôle masculin !

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Cbyt



Bronx de Olivier Marchal fait pas dans la finesse mais c'est aussi ce qui fait le "charme" de ses films. Toujours une histoire de voyous et flics (qui sont aussi des voyous mais avec une plaque). 
C'est efficace, y a du rythme. On s'ennuie pas.

Phil


Admin

Cbyt a écrit:Bronx de Olivier Marchal fait pas dans la finesse mais c'est aussi ce qui fait le "charme" de ses films. Toujours une histoire de voyous et flics (qui sont aussi des voyous mais avec une plaque). 
C'est efficace, y a du rythme. On s'ennuie pas.

à la fois du pur Marchal, et du pur "polar marseillais".
Pas toujours fan du réalisateur, et en effet, c'est complètement bourrin sous tous les aspects (au bout du quinzième mec qui parle tout bas avec un air de gros dur, on a compris). Mais là, ça penche du bon côté de la balance; avec des scènes d'action qui déchirent bien.

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Cbyt



J'ai trouvé cette critique sur IMDB qui résume bien AVA qui vient de débouler sur Netflix mais qui résume finalement beaucoup de productions Netflix (films)
This is classic Hollywood comedy: Actor (played by Jessica Chastain) who also owns the production company (Freckle Films) hires another actor with one hit as a director to direct an action flick written by his actor friend and they get many famous actors to act on it. How hard it is to do an action film with famous actors. It's surely a huge hit.

Little they know, the actor-writer is not a good writer and actor-producer is not good at reading scripts as he think he is. Because everyone is friends with everyone, nobody is honest. Hilarity ensues. Experience is tragic for the audience. Comedy for the Hollywood insiders

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